«Aujourd’hui, il ne reste que 27 terrains totalisant 30 hectares et dont le plus grand est de 4 hectares», observe, dépité, Christian Breuza, directeur général de la Société d’aménagement du Rhône aux Alpes.
Trois dossiers sont en cours de concrétisation sur le parc de Chesnes. Tout d’abord, une opération en blanc est menée par le promoteur PRD pour l’assureur Aviva sur un site à cheval entre Saint-Quentin-Fallavier et Satolas-et-Bonce. Il concerne 23.000 m2 (24 portes à quai) sur un tènement de 5 hectares destiné à la location. Une fois le dossier ICPE obtenu, les travaux pourraient commencer fin 2015-début 2016.
Côté Transport, Altrans a acquis 22.500 m2 de terrain pour y construire un bâtiment de 8.500 m2 disposant de 8 portes à quai pour édifier son siège régional. Les travaux pourraient être entrepris avant la fin de cette année. Le spécialiste de l’étanchéité de façade Cibetanche a acheté 15.000 m2 de terrain pour construire un bâtiment d’environ 6.000 m2. Une promesse de vente a récemment été signée pour QRO, une entreprise familiale qui construira sur un terrain de 4.300 m2 110 places de parking poids lourds, dont 38 payantes et sécurisées. Une station-service, une station gaz, une station de lavage, un restaurant et quelques services annexes sont également prévus sur ce site.
Trois dossiers sont en cours de concrétisation sur le parc de Chesnes. Tout d’abord, une opération en blanc est menée par le promoteur PRD pour l’assureur Aviva sur un site à cheval entre Saint-Quentin-Fallavier et Satolas-et-Bonce. Il concerne 23.000 m2 (24 portes à quai) sur un tènement de 5 hectares destiné à la location. Une fois le dossier ICPE obtenu, les travaux pourraient commencer fin 2015-début 2016.
Côté Transport, Altrans a acquis 22.500 m2 de terrain pour y construire un bâtiment de 8.500 m2 disposant de 8 portes à quai pour édifier son siège régional. Les travaux pourraient être entrepris avant la fin de cette année. Le spécialiste de l’étanchéité de façade Cibetanche a acheté 15.000 m2 de terrain pour construire un bâtiment d’environ 6.000 m2. Une promesse de vente a récemment été signée pour QRO, une entreprise familiale qui construira sur un terrain de 4.300 m2 110 places de parking poids lourds, dont 38 payantes et sécurisées. Une station-service, une station gaz, une station de lavage, un restaurant et quelques services annexes sont également prévus sur ce site.
"Équilibre entre maintien agricole et développement économique"
Prologis est le principal propriétaire du parc de Chesnes avec 530.000 m2 sur les 2 millions recensés. Ce groupe a acheté un terrain en gris à Sara-Aménagement et pourrait lancer finalement une opération en blanc sur 7 hectares pour un bâtiment de 30.000 m2.
L’extension de la Directive territoriale d’aménagement a été approuvée en mars 2015. Ce dossier qu’avait bien soutenu le préfet Carenco (aujourd’hui préfet en Île-de-France), qui souhaitait que le foncier soit acquis par la puissance publique, permettrait de faire gagner 180 hectares sur la commune de Satolas-et-Bonce. «Il faut maintenant que les collectivités, la Capi et les communes prennent le relais pour décliner cette DTA dans leur document d’urbanisme. Le sujet est compliqué car il concerne une commune où se trouvent des enjeux agricoles, ce qui nécessitera de trouver un équilibre entre maintien agricole et développement économique», reconnaît Christian Breuza, qui voit le temps passer…
Sara-Aménagement a été créé en juin 2011 avec un démarrage d’activité opérationnelle en janvier 2012 pour poursuivre et amplifier le développement des ZAC lancées par l’État du temps des villes nouvelles dont le parc des Chesnes. Cette structure qui emploie 14 personnes va créer une Sem, «Sara-Développement», au cours du premier trimestre 2016 afin de pouvoir travailler sur un périmètre plus large que la Capi (Communauté d’agglomération porte de l’Isère) et notamment sur l’ensemble de la plaine Saint-Exupéry. «Aujourd’hui, nous ne travaillons que pour nos dix-huit collectivités actionnaires. Cette société d’économie mixte nous permettra d’élargir, d’une part, nos territoires d’intervention et, d’autre part, le nombre des commanditaires», observe Christian Breuza qui veut élargir ses champs d’action.