Le géant de l’e-commerce Amazon démarre l’expédition de colis depuis sa nouvelle plateforme logistique de 185.000 m2 en Lorraine, l’une de ses plus vastes d'Europe.
Le mégacentre logistique d’Amazon à Metz (Moselle) démarre son activité cette semaine. Le géant de l’e-commerce s’est implanté sur 185.000 m2 pour l’expédition de colis vers le Nord-Est de la France. Cette surface, qui inclut 5.000 m2 de bureaux, fait de la plateforme messine l’une des plus importantes du groupe parmi les quarante qu’il compte en Europe, à l’instar de celles de Francfort, Londres ou Milan.
L’infrastructure a été développée pour le compte d’Amazon par la foncière Argan, avec GSE comme contractant général. Elle se déploie sur quatre niveaux. Le rez-de-chaussée comprend une soixantaine de portes de quai et regroupe les convoyeurs automatisés qui acheminent les colis en mezzanine. Les étages, quant à eux, sont équipés de 53.000 armoires de stockage, déplacées par des robots jusqu’à des "stations de prélèvement", où les préparateurs de commande récupèrent les marchandises en vue de les emballer puis de les expédier.
Mille emplois créés
Amazon a choisi l’agglomération de Metz du fait de sa "position géographique idéale en Europe au milieu de la cinquième région la plus peuplée" du Vieux Continent, explique Stefano Perego, son vice-président Europe. Il s’implante plus précisément en périphérie de la ville, sur le Plateau de Frescaty, lieu de l’ancienne base aérienne 128. Ce qui répond à son souhait de privilégier des sites à réhabiliter, et ainsi de "n’engendrer aucune nouvelle artificialisation des sols", indique-t-il. La surface au sol occupée par la nouvelle plateforme représente 5 hectares.
Le centre logistique vise la certification environnementale Breeam au niveau Very Good grâce notamment à son système de traitement et infiltration des eaux pluviales. Il est équipé d’une centrale photovoltaïque qui délivrera 500 mégawattheures par an, pour son autoconsommation.
Côté effectifs, Amazon confirme la perspective de 1.000 postes en CDI (contrats à durée indéterminée) d’ici à trois ans, soit "la plus importante création nette d’emplois sur notre territoire depuis l’usine PSA il y a quarante ans", souligne François Grosdidier, président de Metz Métropole. Le site de Frescaty va connaître une montée en puissance jusqu’à un premier pic d’activité à la fin de cette année.
L’infrastructure a été développée pour le compte d’Amazon par la foncière Argan, avec GSE comme contractant général. Elle se déploie sur quatre niveaux. Le rez-de-chaussée comprend une soixantaine de portes de quai et regroupe les convoyeurs automatisés qui acheminent les colis en mezzanine. Les étages, quant à eux, sont équipés de 53.000 armoires de stockage, déplacées par des robots jusqu’à des "stations de prélèvement", où les préparateurs de commande récupèrent les marchandises en vue de les emballer puis de les expédier.
Mille emplois créés
Amazon a choisi l’agglomération de Metz du fait de sa "position géographique idéale en Europe au milieu de la cinquième région la plus peuplée" du Vieux Continent, explique Stefano Perego, son vice-président Europe. Il s’implante plus précisément en périphérie de la ville, sur le Plateau de Frescaty, lieu de l’ancienne base aérienne 128. Ce qui répond à son souhait de privilégier des sites à réhabiliter, et ainsi de "n’engendrer aucune nouvelle artificialisation des sols", indique-t-il. La surface au sol occupée par la nouvelle plateforme représente 5 hectares.
Le centre logistique vise la certification environnementale Breeam au niveau Very Good grâce notamment à son système de traitement et infiltration des eaux pluviales. Il est équipé d’une centrale photovoltaïque qui délivrera 500 mégawattheures par an, pour son autoconsommation.
Côté effectifs, Amazon confirme la perspective de 1.000 postes en CDI (contrats à durée indéterminée) d’ici à trois ans, soit "la plus importante création nette d’emplois sur notre territoire depuis l’usine PSA il y a quarante ans", souligne François Grosdidier, président de Metz Métropole. Le site de Frescaty va connaître une montée en puissance jusqu’à un premier pic d’activité à la fin de cette année.
