Pour 2016, la hausse des livraisons de voitures particulières neuves en France s'est établie l'an dernier à 5,1 %, ce qui représente 2,015 millions d'unités, indique le Comité des constructeurs français d'automobiles (CCFA).
Le marché automobile n'avait plus atteint la barre des deux millions d'immatriculations depuis 2011. Il était à l'époque soutenu par une prime à la casse, instaurée en 2009 pour lutter contre les effets de la crise de 2008, gonflant artificiellement la demande. Le niveau de 2 millions est considéré comme le seuil "normal" d'immatriculations annuelles dans un marché français en bonne santé.
Les Français prophètes en leur pays
Le groupe Renault a vu ses immatriculations de voitures particulières bondir de 8 % à 518.469 unités, grâce à sa marque "low-cost" Dacia dont les livraisons ont augmenté de 13,4 % l'an dernier. Avec les utilitaires, la hausse atteint 7,3 %.
Son rival français, le groupe PSA, est resté stable l'an dernier pour les livraisons de ses voitures particulières, à 558.976. Avec les utilitaires, le groupe progresse de 1,4 %. PSA connaît actuellement un creux commercial à cause du renouvellement de produits vedettes (Peugeot 3008 et 5008, Citroën C3) et d'une gamme DS en fin de carrière. Il reste toutefois le premier en France, avec 27,7% des immatriculations l'an dernier, suivi par Renault à 25,73 % de part de marché pour les voitures particulières.
Les deux constructeurs français s'arrogent près de 54 % du marché, pourtant, les étrangers ont connu l'an dernier une hausse générale de 6,8 % de leurs immatriculations.
Le groupe Volkswagen (VW), dont l'image a été ternie par le scandale des moteurs diesel truqués qui a éclaté en septembre 2015, demeure le premier importateur (+ 2,8 %, à 258.603 unités), mais la marque Volkswagen a vu ses immatriculations reculer de 0,7 %. Ce sont donc les autres marques, en particulier Audi (+ 10,1 %), qui ont permis au géant allemand de progresser en volume. Le groupe BMW (avec Mini) arrive à la quatrième place (+ 12,7 %, à 85.712 unités), devant Toyota (+ 8,6 %, à 82.796 unités).
Le marché automobile n'avait plus atteint la barre des deux millions d'immatriculations depuis 2011. Il était à l'époque soutenu par une prime à la casse, instaurée en 2009 pour lutter contre les effets de la crise de 2008, gonflant artificiellement la demande. Le niveau de 2 millions est considéré comme le seuil "normal" d'immatriculations annuelles dans un marché français en bonne santé.
Les Français prophètes en leur pays
Le groupe Renault a vu ses immatriculations de voitures particulières bondir de 8 % à 518.469 unités, grâce à sa marque "low-cost" Dacia dont les livraisons ont augmenté de 13,4 % l'an dernier. Avec les utilitaires, la hausse atteint 7,3 %.
Son rival français, le groupe PSA, est resté stable l'an dernier pour les livraisons de ses voitures particulières, à 558.976. Avec les utilitaires, le groupe progresse de 1,4 %. PSA connaît actuellement un creux commercial à cause du renouvellement de produits vedettes (Peugeot 3008 et 5008, Citroën C3) et d'une gamme DS en fin de carrière. Il reste toutefois le premier en France, avec 27,7% des immatriculations l'an dernier, suivi par Renault à 25,73 % de part de marché pour les voitures particulières.
Les deux constructeurs français s'arrogent près de 54 % du marché, pourtant, les étrangers ont connu l'an dernier une hausse générale de 6,8 % de leurs immatriculations.
Le groupe Volkswagen (VW), dont l'image a été ternie par le scandale des moteurs diesel truqués qui a éclaté en septembre 2015, demeure le premier importateur (+ 2,8 %, à 258.603 unités), mais la marque Volkswagen a vu ses immatriculations reculer de 0,7 %. Ce sont donc les autres marques, en particulier Audi (+ 10,1 %), qui ont permis au géant allemand de progresser en volume. Le groupe BMW (avec Mini) arrive à la quatrième place (+ 12,7 %, à 85.712 unités), devant Toyota (+ 8,6 %, à 82.796 unités).