Le port de Sète, qui établit déjà les grandes lignes de son prochain projet stratégique 2021-2025, consent quelques efforts financiers pour aider la place portuaire à sortir de la crise sanitaire.
Tirant le bilan de l'impact de la crise sur le port de Sète, Jean-Claude Gayssot, son président, a commenté : "C’est l’activité de commerce qui a été la plus impactée avec une diminution jusqu’à 70 % de ses escales, au pic de la crise. La filière passagers a le plus souffert, avec l’arrêt des lignes régulières ferry, mais aussi l’activité croisières qui aurait dû redémarrer en avril. La crise sanitaire a également touché de plein fouet la filière automobile et la filière des produits pétroliers".
Selon Jean-Claude Gayssot, "la polyvalence des trafics qui a toujours été un atout majeur pour le port de Sète a permis d’amortir le choc et d’opérer une reprise des escales dès la mi-mai."
Un emprunt de 3,5 millions d'euros
Le conseil d’administration du port a étudié un schéma financier pour s’adapter à l’après-crise économique". À cet égard, un emprunt de 3,5 millions d'euros et un recours à une ligne de trésorerie ont été lancés. "L’objectif prioritaire pour la sortie de la crise est de pouvoir maintenir les investissements productifs", a commenté la direction du port. Parmi ceux-ci figure l’acquisition d’une nouvelle grue sur rail de grande capacité.
Selon Jean-Claude Gayssot, "la polyvalence des trafics qui a toujours été un atout majeur pour le port de Sète a permis d’amortir le choc et d’opérer une reprise des escales dès la mi-mai."
Un emprunt de 3,5 millions d'euros
Le conseil d’administration du port a étudié un schéma financier pour s’adapter à l’après-crise économique". À cet égard, un emprunt de 3,5 millions d'euros et un recours à une ligne de trésorerie ont été lancés. "L’objectif prioritaire pour la sortie de la crise est de pouvoir maintenir les investissements productifs", a commenté la direction du port. Parmi ceux-ci figure l’acquisition d’une nouvelle grue sur rail de grande capacité.
