La société canadienne SNC-Lavalin a cédé tous ses actifs français à l'entreprise hexagonale Edeis, né d'un partenariat entre la société de participations Impact Holding et le fonds Ciclad. Cette acquisition a été annoncée vendredi 30 décembre. Elle concerne notamment la gestion de 18 aéroports régionaux français et un espagnol.
Edeis "reprend toutes les activités du groupe" d'ingénierie et de construction SNC-Lavalin SAS "en France et à Monaco", a annoncé l'acheteur, qui se définit comme un "nouvel acteur français de l'ingénierie et de la gestion d'infrastructures complexes".
Ce rachat n'aura "aucun impact négatif sur l’emploi", assure Edeis, ajoutant que plus de 1.100 collaborateurs du groupe SNC-Lavalin SAS en France et à Monaco sont concernés par cette cession d’actifs. Le montant de la transaction n'a pas été précisé.
Les activités infrastructures des agences de Reims, Ivry-sur-Seine, Strasbourg, Quimper, Montoir-de-Bretagne, Nantes, Cholet, Lyon, Brive, Bordeaux, Nice, Monaco et Toulouse font partie du portefeuille.
La gestion de 19 aéroports passe également dans le giron de la nouvelle société, à savoir Angoulême, Annecy, Auxerre, Bourges, Castellón (Espagne), Châlon-Champforgeuil, Cherbourg, Dijon, Le Havre, Mayotte, Nîmes, Reims, Rouen, Saint-Martin-Grand-Case, Tarbes, Toulouse-Francazal, Tours, Troyes et Vannes.
La gestion du port de plaisance de Rouen pour les activités opérations et maintenance figure aussi dans le portefeuille racheté. Par ailleurs, "l’activité du train à crémaillère, localisée dans le Puy-de-Dôme, devrait faire l’objet d’une cession dans le courant de l’année 2017", précise Edeis.
SNC-Lavalin avait annoncé en août étudier une offre de rachat de sa filiale française déposée par Impact Holding et Ciclad. SNC-Lavalin a entrepris une vaste réorganisation depuis une série de d'affaires judiciaires, au Canada et dans le monde. La multiplication des scandales avait poussé en 2013 la Banque mondiale à interdire cette société de participer à ses appels d'offre pour dix ans.
Edeis "reprend toutes les activités du groupe" d'ingénierie et de construction SNC-Lavalin SAS "en France et à Monaco", a annoncé l'acheteur, qui se définit comme un "nouvel acteur français de l'ingénierie et de la gestion d'infrastructures complexes".
Ce rachat n'aura "aucun impact négatif sur l’emploi", assure Edeis, ajoutant que plus de 1.100 collaborateurs du groupe SNC-Lavalin SAS en France et à Monaco sont concernés par cette cession d’actifs. Le montant de la transaction n'a pas été précisé.
Les activités infrastructures des agences de Reims, Ivry-sur-Seine, Strasbourg, Quimper, Montoir-de-Bretagne, Nantes, Cholet, Lyon, Brive, Bordeaux, Nice, Monaco et Toulouse font partie du portefeuille.
La gestion de 19 aéroports passe également dans le giron de la nouvelle société, à savoir Angoulême, Annecy, Auxerre, Bourges, Castellón (Espagne), Châlon-Champforgeuil, Cherbourg, Dijon, Le Havre, Mayotte, Nîmes, Reims, Rouen, Saint-Martin-Grand-Case, Tarbes, Toulouse-Francazal, Tours, Troyes et Vannes.
La gestion du port de plaisance de Rouen pour les activités opérations et maintenance figure aussi dans le portefeuille racheté. Par ailleurs, "l’activité du train à crémaillère, localisée dans le Puy-de-Dôme, devrait faire l’objet d’une cession dans le courant de l’année 2017", précise Edeis.
SNC-Lavalin avait annoncé en août étudier une offre de rachat de sa filiale française déposée par Impact Holding et Ciclad. SNC-Lavalin a entrepris une vaste réorganisation depuis une série de d'affaires judiciaires, au Canada et dans le monde. La multiplication des scandales avait poussé en 2013 la Banque mondiale à interdire cette société de participer à ses appels d'offre pour dix ans.