
Le "Piana", ici dans le port de Bastia, a remplacé le "Scandola" en janvier 2012 © Franck André
Pour l'année 2014, le chiffre d'affaires cumulé s'est élevé à 2,7 milliards d'euros contre 2,6 milliards en 2013, a indiqué Stef, faisant état d'une hausse de 5 %. "Le résultat net 2014 s'inscrira en amélioration par rapport à 2013", a ajouté le groupe, qui avait réalisé en 2013 un résultat net de 60,2 millions d'euros.
Au quatrième trimestre, le groupe a réalisé un chiffre d'affaires de 728,3 millions d'euros, en hausse de 1,5 % par rapport à la même période de l'an passé. Stef précise que "l'effet périmètre n'est pas significatif", car "il représente un solde positif de 1,5 million d'euros, entre la sortie des activités britanniques pour - 2,4 millions d'euros et l'entrée de la société néerlandaise Speksnijder Transport pour 3,9 millions d'euros".
La croissance sur ce trimestre a été tirée notamment par le développement des activités européennes, qui ont bondi de 9,3 %, à 146,9 millions d'euros (+ 6,4 % à périmètre comparable). Le groupe souligne qu'en Espagne, le chiffre d'affaires a progressé de 5,5 %, et qu'en Italie, "le renforcement du réseau et la pertinence de l'offre logistique et transport ont permis de maintenir un rythme de croissance soutenue à 8,6 %".
Chute du chiffre d'affaires en France
Le chiffre d'affaires de l'activité de transport en France a chuté de 2,8 %, à 321,2 millions d'euros, pénalisée "à hauteur de 5,4 millions d'euros" par "la forte variation à la baisse des prix du carburant, répercutée en pied de facture aux clients".
En revanche, les activités de transport de marée et de produits surgelés ont terminé l’année sur une forte progression, ajoute le groupe, soulignant que la filière des produits frais s'est montrée moins dynamique.
Toujours dans l'Hexagone, la logistique a quant à elle connu une croissance de 2,2 %, à 129,5 millions d'euros, "notamment grâce à l'activité RHD ("restauration hors domicile") qui progresse de 2,5 % et à l'impact d'un nouveau dossier logistique pour une enseigne de grande distribution dans le Sud-Ouest de la France", détaille Stef.
Au quatrième trimestre, le groupe a réalisé un chiffre d'affaires de 728,3 millions d'euros, en hausse de 1,5 % par rapport à la même période de l'an passé. Stef précise que "l'effet périmètre n'est pas significatif", car "il représente un solde positif de 1,5 million d'euros, entre la sortie des activités britanniques pour - 2,4 millions d'euros et l'entrée de la société néerlandaise Speksnijder Transport pour 3,9 millions d'euros".
La croissance sur ce trimestre a été tirée notamment par le développement des activités européennes, qui ont bondi de 9,3 %, à 146,9 millions d'euros (+ 6,4 % à périmètre comparable). Le groupe souligne qu'en Espagne, le chiffre d'affaires a progressé de 5,5 %, et qu'en Italie, "le renforcement du réseau et la pertinence de l'offre logistique et transport ont permis de maintenir un rythme de croissance soutenue à 8,6 %".
Chute du chiffre d'affaires en France
Le chiffre d'affaires de l'activité de transport en France a chuté de 2,8 %, à 321,2 millions d'euros, pénalisée "à hauteur de 5,4 millions d'euros" par "la forte variation à la baisse des prix du carburant, répercutée en pied de facture aux clients".
En revanche, les activités de transport de marée et de produits surgelés ont terminé l’année sur une forte progression, ajoute le groupe, soulignant que la filière des produits frais s'est montrée moins dynamique.
Toujours dans l'Hexagone, la logistique a quant à elle connu une croissance de 2,2 %, à 129,5 millions d'euros, "notamment grâce à l'activité RHD ("restauration hors domicile") qui progresse de 2,5 % et à l'impact d'un nouveau dossier logistique pour une enseigne de grande distribution dans le Sud-Ouest de la France", détaille Stef.
"Stabilité pour La Méridionale à Marseille"
Pour sa filiale maritime La Méridionale, le groupe Stef indique que "sur un marché de la desserte de la Corse en fort ralentissement", l'armateur réussit à stabiliser l’activité, tant en fret (+ 0,2 % en volume sur le trimestre) qu’en passagers. On sait combien la compagnie, codélégataire de service public aux côtés de la SNCM, a été victime ces derniers mois des conflits sociaux liés à l'armateur du groupe Veolia en difficultés.
En matière de flotte, le groupe rappelle le navire "Scandola" a fait l'objet d'un frètement tout au long de l'année 2014. Une opération qui a permis de rapporter du chiffre d'affaire à la compagnie. Il avait quitté Marseille lors de l'arrivée du "Piana", début 2012, pour être exploité à Tarragone (Espagne), mais l'identité de l'affréteur est restée inconnue.