
© Airbus
Les aéroports brésiliens de Rio et Belo Horizonte seront privatisés en septembre. "L'expérience internationale montre que les aéroports sont une très bonne affaire", a dit la présidente rappelant qu'en février 2012, le Brésil avait déjà donné en concession au privé sur plus de vingt ans la gestion de trois aéroports : deux à Sao Paulo (Viracopos et Guarulhos) et celui de Brasilia, rompant le monopole de Infraero (public) qui administre plus de 70 aéroports du pays. Les aéroports, souvent vétustes et surchargés, sont l'un des principaux points noirs de l'organisation du Mondial de football.
Dilma Rousseff a dit jeudi que les groupes privés devront inclure dans leurs consortiums un opérateur international ayant "une expérience dans la gestion d'un aéroport d'au moins 35 millions de passagers par an". Cet opérateur devra aussi avoir "au moins 25 % de participation" dans le consortium. Infraero conserve une participation minoritaire de 49 %. Elle a dit que le pays allait devenir "un pays de classe moyenne" où les gens vont prendre de plus en plus l'avion avec "40 millions de Brésiliens qui sont sortis de la misère au cours de la dernière décennie".
Le ministre de l'Aviation civile, Wagner Bittencourt, a déclaré quant à lui qu'il y aurait des investissements de 11,4 milliards de reais (5,7 milliards de dollars) au total de la part des futurs consortiums privés : 6,6 md de reais ( 3,3 md USD) pour l'aéroport Tom Jobim de Rio et 4,8 md reais (2,4 md USD) pour Confins à Belo Horizonte. Pour les trois aéroports privatisés en 2012, pour la somme record de 14 milliards de dollars, l'exigence n'avait été que de 5 millions de passagers par an et la participation du consortium devait être à hauteur d'au moins 10 %.
Dilma Rousseff a dit jeudi que les groupes privés devront inclure dans leurs consortiums un opérateur international ayant "une expérience dans la gestion d'un aéroport d'au moins 35 millions de passagers par an". Cet opérateur devra aussi avoir "au moins 25 % de participation" dans le consortium. Infraero conserve une participation minoritaire de 49 %. Elle a dit que le pays allait devenir "un pays de classe moyenne" où les gens vont prendre de plus en plus l'avion avec "40 millions de Brésiliens qui sont sortis de la misère au cours de la dernière décennie".
Le ministre de l'Aviation civile, Wagner Bittencourt, a déclaré quant à lui qu'il y aurait des investissements de 11,4 milliards de reais (5,7 milliards de dollars) au total de la part des futurs consortiums privés : 6,6 md de reais ( 3,3 md USD) pour l'aéroport Tom Jobim de Rio et 4,8 md reais (2,4 md USD) pour Confins à Belo Horizonte. Pour les trois aéroports privatisés en 2012, pour la somme record de 14 milliards de dollars, l'exigence n'avait été que de 5 millions de passagers par an et la participation du consortium devait être à hauteur d'au moins 10 %.