L'emploi dans le secteur français des EMR a progressé en 2017. Selon un rapport de l'Observatoire des énergies de la mer, créé par le Cluster maritime français, 2.650 équivalents temps plein (ETP) ont été recensés, soit une hausse de 564 ETP, + 26 % comparé à 2016.
Cette croissance concerne toutes les catégories : entreprises prestataires ou fournisseuses, structures de recherche et développement, instituts de formation, développeurs-exploitants et institutionnels. 23 % des postes sont occupés par des femmes, un taux légèrement inférieur à l'industrie en général.
Les emplois sont en hausse dans presque toutes les régions littorales. Sur 2.650 ETP recensés pour la filière des énergies de la mer, 51 % sont localisés dans la région des Pays-de-la-Loire, qui concentre 42 % des emplois du secteur. La Bretagne (+ 69 ETP) et la Normandie (+ 107 ETP) sont les deux autres régions qui progressent le plus. Au contraire, les effectifs ont baissé en Provence-Alpes-Côte d'Azur et en Île-de-France, qui a vu les équipes de développeurs se rapprocher physiquement des lieux de projets.
La hausse du nombre d’emplois s'est presque exclusivement effectuée dans les technologies de l’éolien (+ 318 ETP dans le posé et + 140 ETP dans le flottant), "tirés par la montée en charge des sites industriels, alimentés par les marchés à l’export dans l’attente des projets français et par les nouvelles fermes pilote pour le flottant". Posé et flottant confondus, l’éolien concentre 85 % des emplois du secteur (75 % en 2016).
La baisse des effectifs pour l’hydrolien (- 17 ETP) et l'énergie thermique des mers (- 25 ETP) "peut s’expliquer par les difficultés techniques rencontrées et l'absence de visibilité quant aux marchés pour ces technologies". Selon l'Observatoire des énergies de la mer, cette tendance pourrait s'inverser rapidement, "avec la concrétisation des premières fermes pilote hydroliennes, voire de parcs commerciaux et la mise en service des premiers sites industriels telle l'usine d’assemblage d’hydroliennes à Cherbourg".
Les autres EMR sont l'énergie houlomotrice, l'énergie osmotique, qui consiste à exploiter la différence de salinité entre l’eau douce et l’eau de mer, et le solaire flottant.
Cette croissance concerne toutes les catégories : entreprises prestataires ou fournisseuses, structures de recherche et développement, instituts de formation, développeurs-exploitants et institutionnels. 23 % des postes sont occupés par des femmes, un taux légèrement inférieur à l'industrie en général.
Les emplois sont en hausse dans presque toutes les régions littorales. Sur 2.650 ETP recensés pour la filière des énergies de la mer, 51 % sont localisés dans la région des Pays-de-la-Loire, qui concentre 42 % des emplois du secteur. La Bretagne (+ 69 ETP) et la Normandie (+ 107 ETP) sont les deux autres régions qui progressent le plus. Au contraire, les effectifs ont baissé en Provence-Alpes-Côte d'Azur et en Île-de-France, qui a vu les équipes de développeurs se rapprocher physiquement des lieux de projets.
La hausse du nombre d’emplois s'est presque exclusivement effectuée dans les technologies de l’éolien (+ 318 ETP dans le posé et + 140 ETP dans le flottant), "tirés par la montée en charge des sites industriels, alimentés par les marchés à l’export dans l’attente des projets français et par les nouvelles fermes pilote pour le flottant". Posé et flottant confondus, l’éolien concentre 85 % des emplois du secteur (75 % en 2016).
La baisse des effectifs pour l’hydrolien (- 17 ETP) et l'énergie thermique des mers (- 25 ETP) "peut s’expliquer par les difficultés techniques rencontrées et l'absence de visibilité quant aux marchés pour ces technologies". Selon l'Observatoire des énergies de la mer, cette tendance pourrait s'inverser rapidement, "avec la concrétisation des premières fermes pilote hydroliennes, voire de parcs commerciaux et la mise en service des premiers sites industriels telle l'usine d’assemblage d’hydroliennes à Cherbourg".
Les autres EMR sont l'énergie houlomotrice, l'énergie osmotique, qui consiste à exploiter la différence de salinité entre l’eau douce et l’eau de mer, et le solaire flottant.
