Pour connaître les règles d’un emballage normalisé, il existe un cahier des charges spécifique (SEI, Syndicat de l’emballage industriel) qu’a élaboré le Bureau technique du Syndicat des emballeurs industriels (BTEI). Il est le bréviaire de tous les emballeurs et de tous les exportateurs de biens d’équipement.
La marque SEI, déposée à l’Institut de la propriété industrielle (Inpi), certifie que les fabrications d’emballage qui portent ce logo sont garanties contre toute faute professionnelle de ceux qui les réalisent. Cette marque est la propriété du Syndicat de l’emballage industriel et de la logistique associée (SEILA).
Avant toute opération d’emballage, lister toutes les contraintes que va subir le produit à emballer à savoir :
- la destination finale d’expédition,
- le mode de transport choisi ou imposé par l’acheteur,
- les ruptures de charges prévues pendant le transport,
- la durée de stockage sur site à l’arrivée demandée,
- les conditions de stockage avant le départ,
- les conditions de garanties SEI du dossier,
- les conditions de réception de la marchandise sur site.
Bien connaître la nature des produits à emballer et, pour ce faire, évaluer :
- le niveau de fragilité mécanique,
- le niveau de fragilité physico-chimique,
- le type de fabrication du matériel (matière),
- le type de revêtement (peinture, inox...),
- les points éventuels d’appui ou de non-appui,
- le centre de gravité,
- le poids.
La marque SEI, déposée à l’Institut de la propriété industrielle (Inpi), certifie que les fabrications d’emballage qui portent ce logo sont garanties contre toute faute professionnelle de ceux qui les réalisent. Cette marque est la propriété du Syndicat de l’emballage industriel et de la logistique associée (SEILA).
Avant toute opération d’emballage, lister toutes les contraintes que va subir le produit à emballer à savoir :
- la destination finale d’expédition,
- le mode de transport choisi ou imposé par l’acheteur,
- les ruptures de charges prévues pendant le transport,
- la durée de stockage sur site à l’arrivée demandée,
- les conditions de stockage avant le départ,
- les conditions de garanties SEI du dossier,
- les conditions de réception de la marchandise sur site.
Bien connaître la nature des produits à emballer et, pour ce faire, évaluer :
- le niveau de fragilité mécanique,
- le niveau de fragilité physico-chimique,
- le type de fabrication du matériel (matière),
- le type de revêtement (peinture, inox...),
- les points éventuels d’appui ou de non-appui,
- le centre de gravité,
- le poids.

Caisses pleines (emballage de type 4) © Franck André
Savoir lire une classe d’emballage
La lecture de la classe d’emballage va de l’extérieur du colis vers l’intérieur.
Un exemple : catégorie 4 - d - 3 – c
4 = Caisse pleine
d = Amortisseurs
3 = Caisse à claire-voie intérieure
c = Housse étanche + déshydratant
Décryptage : le produit doit craindre la rouille ou l’humidité (par exemple, avoir des parties électriques). Pour utiliser des amortisseurs et une caisse à claire-voie intérieure, il doit être très fragile ou très sensible (équipement ou composant électronique).
À l’opposé, des catégories toutes simples peuvent être également utilisées à l’instar de 3-a. Il s’agit d’une caisse à claire-voie sans protection aucune directe sur le matériel. Dans ce cas, la caisse a un usage uniquement de regroupement pour simplifier les manutentions et le transport ou pour éviter les pertes ou le vol, mais le matériel ne craint ni les mauvaises conditions climatiques ni les chocs. Il peut s’agir par exemple de pièces en fer (exemple : charpente métallique brute).
Un exemple : catégorie 4 - d - 3 – c
4 = Caisse pleine
d = Amortisseurs
3 = Caisse à claire-voie intérieure
c = Housse étanche + déshydratant
Décryptage : le produit doit craindre la rouille ou l’humidité (par exemple, avoir des parties électriques). Pour utiliser des amortisseurs et une caisse à claire-voie intérieure, il doit être très fragile ou très sensible (équipement ou composant électronique).
À l’opposé, des catégories toutes simples peuvent être également utilisées à l’instar de 3-a. Il s’agit d’une caisse à claire-voie sans protection aucune directe sur le matériel. Dans ce cas, la caisse a un usage uniquement de regroupement pour simplifier les manutentions et le transport ou pour éviter les pertes ou le vol, mais le matériel ne craint ni les mauvaises conditions climatiques ni les chocs. Il peut s’agir par exemple de pièces en fer (exemple : charpente métallique brute).