
© General Electric
Les nouvelles turbines à gaz de General Electric Belfort pèsent 380 tonnes, elles augmentent le poids roulant de 50 % et elles doublent quasiment la longueur des convois, qui passe de 60 à 110 mètres de long. Le gabarit routier alsacien doit donc s’adapter à ces dimensions inédites sur le parcours de 150 km qui mène de l’usine de Belfort au port de Strasbourg, d’où les turbines embarquent sur le portique colis lourds en direction de la mer du Nord.
Les travaux se montent à 682.000 euros, ils comprennent des déplacements de feux, arbres et panneaux de signalisation, l’aplanissement de chaussées, la création d’une sortie dédiée peu avant Strasbourg. Bien que situés principalement en Alsace, ils seront pris en charge à moitié/moitié par les acteurs du point de départ : le Conseil général du Territoire de Belfort et l’industriel lui-même, une première pour ce dernier. La collectivité justifie son investissement par l’enjeu économique de la pérennité d’un site de 1.900 salariés. General Electric souligne que cet itinéraire est le seul possible en l’état.
Être prêt en novembre
Une convention entre le département belfortain et les collectivités alsaciennes gestionnaires de la voirie (Conseils généraux du Haut-Rhin et du Bas-Rhin, Communauté urbaine de Strasbourg) organise la maîtrise d’ouvrage et le montage financier : la partie alsacienne préfinancera les travaux avant de se faire rembourser. Tout devra être prêt en novembre prochain, pour l’envoi d’une première turbine aux États-Unis pour son test final dans un centre d’essais du conglomérat.
Les travaux se montent à 682.000 euros, ils comprennent des déplacements de feux, arbres et panneaux de signalisation, l’aplanissement de chaussées, la création d’une sortie dédiée peu avant Strasbourg. Bien que situés principalement en Alsace, ils seront pris en charge à moitié/moitié par les acteurs du point de départ : le Conseil général du Territoire de Belfort et l’industriel lui-même, une première pour ce dernier. La collectivité justifie son investissement par l’enjeu économique de la pérennité d’un site de 1.900 salariés. General Electric souligne que cet itinéraire est le seul possible en l’état.
Être prêt en novembre
Une convention entre le département belfortain et les collectivités alsaciennes gestionnaires de la voirie (Conseils généraux du Haut-Rhin et du Bas-Rhin, Communauté urbaine de Strasbourg) organise la maîtrise d’ouvrage et le montage financier : la partie alsacienne préfinancera les travaux avant de se faire rembourser. Tout devra être prêt en novembre prochain, pour l’envoi d’une première turbine aux États-Unis pour son test final dans un centre d’essais du conglomérat.