L’année 2017 devrait s’achever sur un record de tonnage correspondant aux ventes de porte-conteneurs d’occasion. Quant au nombre de commandes de constructions neuves, selon la dernière étude publiée par Clarksons Research, il devrait s’établir à un niveau historiquement très bas.
Dans le secteur de la ligne régulière, si le dernier trimestre se poursuit sur la même tendance que celle enregistrée depuis le début de l’année, 2017 devrait s’achever sur une croissance du nombre de ventes des porte-conteneurs d’occasion et une baisse des commandes de constructions neuves.
Selon une étude de Clarksons Research, du groupe éponyme londonien, 2016 et 2017 se sont singularisées par un phénomène diamétralement opposé à la tendance de fond observée depuis le début du xxie siècle.
Les analystes expliquent que lorsqu’un armateur a besoin aujourd’hui d’étoffer sa flotte, deux possibilités s’offrent à lui. Soit il commande un navire neuf répondant davantage aux critères environnementaux du moment, soit il acquiert un porte-conteneurs d’occasion. Dans cette dernière hypothèse, il peut avoir recours à une unité d’un coût moins élevé, d’une durée de vie moins longue mais disponible plus ou moins rapidement.
1.092 unités sur le marché de l’occasion depuis début 2017
Depuis le début de l’année 2016, explique Steve Willcox, dans “Shipping Intelligence Network”, lorsque les armateurs investissent dans du tonnage supplémentaire, ils ont eu pour l’essentiel recours à des navires d’occasion. Au cours des huit premiers mois de 2017, on a enregistré 1.092 ventes de navires d’occasion, représentant 64,4 millions de tonnes de port en lourd. Si la tendance se poursuit au dernier trimestre, le tonnage annuel devrait dépasser les 84,4 M TPL enregistrés en 2014 et 83,5 M TPL atteints en 2007.
Selon une étude de Clarksons Research, du groupe éponyme londonien, 2016 et 2017 se sont singularisées par un phénomène diamétralement opposé à la tendance de fond observée depuis le début du xxie siècle.
Les analystes expliquent que lorsqu’un armateur a besoin aujourd’hui d’étoffer sa flotte, deux possibilités s’offrent à lui. Soit il commande un navire neuf répondant davantage aux critères environnementaux du moment, soit il acquiert un porte-conteneurs d’occasion. Dans cette dernière hypothèse, il peut avoir recours à une unité d’un coût moins élevé, d’une durée de vie moins longue mais disponible plus ou moins rapidement.
1.092 unités sur le marché de l’occasion depuis début 2017
Depuis le début de l’année 2016, explique Steve Willcox, dans “Shipping Intelligence Network”, lorsque les armateurs investissent dans du tonnage supplémentaire, ils ont eu pour l’essentiel recours à des navires d’occasion. Au cours des huit premiers mois de 2017, on a enregistré 1.092 ventes de navires d’occasion, représentant 64,4 millions de tonnes de port en lourd. Si la tendance se poursuit au dernier trimestre, le tonnage annuel devrait dépasser les 84,4 M TPL enregistrés en 2014 et 83,5 M TPL atteints en 2007.