Les taux d'affrètement pour les vracs secs sont repartis à la baisse la semaine du 30 novembre au 4 décembre, après avoir connu un éphémère rebond la semaine précédente, tandis que les taux des pétroliers ont continué à grimper.
Le Baltic Dry Index (BDI) a fini à 563 points, contre 581 points une semaine auparavant, tiré essentiellement par le déclin des taux des navires "Capesize". "La pression sur les cours est toujours d'actualité alors que les fondamentaux, à savoir une demande faible et une flotte qui augmente plus vite que celle-ci, n'ont pas changé", a observé Enrico Paglia, du courtier maritime Banchero Costa.
Le Baltic Capesize Index 2014 a terminé la semaine à 890 points contre 989 points une semaine auparavant, après avoir néanmoins atteint mardi 1.046 points, soit un maximum en quasiment un mois. Selon Marc Pauchet, analyste de Braemar ACM, même si les retards entraînés par de mauvaises conditions météorologiques dans le nord de la Chine ont permis un temps de soutenir les prix, cela n'a pas duré.
De leur côté, les taux des navires de la catégorie "Panamax" sont restés stables, faute d'activité dans un marché particulièrement calme. En Atlantique, "l'activité a vraiment tourné au ralenti, la légère hausse dans les volumes de minéraux transportés depuis la mer Baltique (afin d'éviter la saison des glaces qui arrive) est désormais passée et le manque de cargaisons sur le marché est assez remarquable pour cette période de l'année", a poursuivi l'analyste.
Le Baltic Panamax Index (BPI) a terminé en légère baisse vendredi 4 décembre, à 433 points, signant un nouveau plus bas en près de neuf mois, contre 456 points une semaine auparavant. De leur côté, les pétroliers ont poursuivi leur hausse, bénéficiant d'une forte demande à la fois au Moyen-Orient et en Afrique de l'Ouest, en raison notamment de nombreux retards de chargement.
Selon les analystes du courtier Fearnleys, l'activité des navires VLCC ("Very Large Crude Carriers", la deuxième plus grosse catégorie de tankers transportant du brut), a connu une forte et constante demande alors que les affréteurs continuent de déverser leurs cargaisons sur le marché. "Par conséquent, l'offre s'est rapidement réduite et les taux se sont raffermis", ont-ils ajouté.
Le Baltic Dirty Tanker Index (BDTI) a fini vendredi à 962 points, soit un nouveau plus haut depuis le 30 juin, contre 904 points la semaine précédente. Quant au Baltic Clean Tanker Index (BCTI), il a terminé à 550 points vendredi, atteignant un nouveau plus haut en près de trois mois, contre 528 points sept jours auparavant.
Le Baltic Dry Index (BDI) a fini à 563 points, contre 581 points une semaine auparavant, tiré essentiellement par le déclin des taux des navires "Capesize". "La pression sur les cours est toujours d'actualité alors que les fondamentaux, à savoir une demande faible et une flotte qui augmente plus vite que celle-ci, n'ont pas changé", a observé Enrico Paglia, du courtier maritime Banchero Costa.
Le Baltic Capesize Index 2014 a terminé la semaine à 890 points contre 989 points une semaine auparavant, après avoir néanmoins atteint mardi 1.046 points, soit un maximum en quasiment un mois. Selon Marc Pauchet, analyste de Braemar ACM, même si les retards entraînés par de mauvaises conditions météorologiques dans le nord de la Chine ont permis un temps de soutenir les prix, cela n'a pas duré.
De leur côté, les taux des navires de la catégorie "Panamax" sont restés stables, faute d'activité dans un marché particulièrement calme. En Atlantique, "l'activité a vraiment tourné au ralenti, la légère hausse dans les volumes de minéraux transportés depuis la mer Baltique (afin d'éviter la saison des glaces qui arrive) est désormais passée et le manque de cargaisons sur le marché est assez remarquable pour cette période de l'année", a poursuivi l'analyste.
Le Baltic Panamax Index (BPI) a terminé en légère baisse vendredi 4 décembre, à 433 points, signant un nouveau plus bas en près de neuf mois, contre 456 points une semaine auparavant. De leur côté, les pétroliers ont poursuivi leur hausse, bénéficiant d'une forte demande à la fois au Moyen-Orient et en Afrique de l'Ouest, en raison notamment de nombreux retards de chargement.
Selon les analystes du courtier Fearnleys, l'activité des navires VLCC ("Very Large Crude Carriers", la deuxième plus grosse catégorie de tankers transportant du brut), a connu une forte et constante demande alors que les affréteurs continuent de déverser leurs cargaisons sur le marché. "Par conséquent, l'offre s'est rapidement réduite et les taux se sont raffermis", ont-ils ajouté.
Le Baltic Dirty Tanker Index (BDTI) a fini vendredi à 962 points, soit un nouveau plus haut depuis le 30 juin, contre 904 points la semaine précédente. Quant au Baltic Clean Tanker Index (BCTI), il a terminé à 550 points vendredi, atteignant un nouveau plus haut en près de trois mois, contre 528 points sept jours auparavant.