À Marseille, deux entreprises privées ont signé le 1er février dernier la "Charte qualité place portuaire" initiée par l'Union maritime et fluviale de Marseille-Fos (UMF).
Après avoir été signée par quelques associations professionnelles, la "Charte qualité place portuaire" commence à remporter l'adhésion de certaines entreprises.
Ainsi, l'opérateur de transport combiné Logirhône vient de la signer. Dans le cadre de son projet lié cette charte créée par l'UMF, la filiale rhodanienne du groupe havrais Sogestran (qui va célébrer cette année les 70 ans de sa création), s'est engagée à communiquer régulièrement un ensemble de KPI concernant la qualité de son service fluvial (notamment le respect des délais et la fiabilité des escales, le pourcentage de non-conformité, etc.), ainsi que la part de réduction des émissions de composés organiques volatils (COV) et de gaz à effets de serre (GES) liée au report modal, a indiqué l'UMF. Cette dernière prévoit de jouer le rôle de relais en matière de communication.
La commission de transport et le fluvial à l'honneur
La charte a été signée par Gilles Peyrot, directeur général de Logirhône, et Alain Maliverney, directeur région Rhône de l'opérateur, en présence Jean-Philippe Salducci, président de l’UMF.
Autre nouveau signataire du secteur privé de la charte qualité, le commissionnaire de transport Lam France. La société nourrit le projet d'augmenter significativement, chaque année, "la part de report modal dans ses pré et post-acheminements, contribuant ainsi également à la réduction des émissions de COV et de GES dans le transport".
Stéphane Salvetat, directeur général de l'entreprise de transit mais aussi président du Syndicat des transitaires de Marseille-Fos et sa région (STM) indique : "Nous sommes les premiers transitaires à signer cette charte. En 2016, la part de report modal en rail et barge dans le volume total de notre trafic s'était élevée à 20 %, soit 7.500 EVP. Nous tablons pour 2018 sur une progression de 30 % de notre report modal, considérant que notre trafic global a progressé de 45 % par rapport à 2016".
La charte a été signée par le dirigeant de Lam France et son agent commercial Clément Brieussel, en présence également de Jean-Philippe Salducci.
Ainsi, l'opérateur de transport combiné Logirhône vient de la signer. Dans le cadre de son projet lié cette charte créée par l'UMF, la filiale rhodanienne du groupe havrais Sogestran (qui va célébrer cette année les 70 ans de sa création), s'est engagée à communiquer régulièrement un ensemble de KPI concernant la qualité de son service fluvial (notamment le respect des délais et la fiabilité des escales, le pourcentage de non-conformité, etc.), ainsi que la part de réduction des émissions de composés organiques volatils (COV) et de gaz à effets de serre (GES) liée au report modal, a indiqué l'UMF. Cette dernière prévoit de jouer le rôle de relais en matière de communication.
La commission de transport et le fluvial à l'honneur
La charte a été signée par Gilles Peyrot, directeur général de Logirhône, et Alain Maliverney, directeur région Rhône de l'opérateur, en présence Jean-Philippe Salducci, président de l’UMF.
Autre nouveau signataire du secteur privé de la charte qualité, le commissionnaire de transport Lam France. La société nourrit le projet d'augmenter significativement, chaque année, "la part de report modal dans ses pré et post-acheminements, contribuant ainsi également à la réduction des émissions de COV et de GES dans le transport".
Stéphane Salvetat, directeur général de l'entreprise de transit mais aussi président du Syndicat des transitaires de Marseille-Fos et sa région (STM) indique : "Nous sommes les premiers transitaires à signer cette charte. En 2016, la part de report modal en rail et barge dans le volume total de notre trafic s'était élevée à 20 %, soit 7.500 EVP. Nous tablons pour 2018 sur une progression de 30 % de notre report modal, considérant que notre trafic global a progressé de 45 % par rapport à 2016".
La charte a été signée par le dirigeant de Lam France et son agent commercial Clément Brieussel, en présence également de Jean-Philippe Salducci.
