
Parmi les dossiers qui font l’objet de rencontres et d’examens au sein de Logistique 42 figure, à l’instar de bien d’autres agglomérations, celui relatif à la logistique urbaine dans le centre de Saint-Étienne. Il s’agit d’améliorer les conditions de livraison des marchandises, de mieux répondre aux enjeux du dernier kilomètre, de s’intégrer dans une démarche de développement durable de la ville, de développer la participation multi-acteurs et de privilégier les partenariats public-privé. Une phase d’expérimentation démarrera en 2013 en centre-ville avec la sélection de la plate-forme, la mise en œuvre d’outils adaptés avec des partenaires transporteurs.
Un label logistique durable
"Nous avons lancé l’idée du label logistique durable. Ce label est basé sur quatre thèmes stratégiques d’entreprise et il est construit selon quatre niveaux de progression et d’exigence en matière de bonnes pratiques professionnelles", nous explique Dominique Vansevenant, président de Logistique 42, ex-directeur logistique et directeur de site de la société Bichon, aujourd’hui à la tête de la société CAT qu’il a reprise voici près de deux ans. "Le développement durable n’est pas encore un pré-requis dans notre business mais à terme il le deviendra", estime-t-il. "L’objectif de ce label est de valoriser l’engagement durable de nos entreprises via un système progressif, moins contraignant et onéreux que la norme Iso, par exemple, mais tout aussi qualitatif", précise notre interlocuteur.
Un label logistique durable
"Nous avons lancé l’idée du label logistique durable. Ce label est basé sur quatre thèmes stratégiques d’entreprise et il est construit selon quatre niveaux de progression et d’exigence en matière de bonnes pratiques professionnelles", nous explique Dominique Vansevenant, président de Logistique 42, ex-directeur logistique et directeur de site de la société Bichon, aujourd’hui à la tête de la société CAT qu’il a reprise voici près de deux ans. "Le développement durable n’est pas encore un pré-requis dans notre business mais à terme il le deviendra", estime-t-il. "L’objectif de ce label est de valoriser l’engagement durable de nos entreprises via un système progressif, moins contraignant et onéreux que la norme Iso, par exemple, mais tout aussi qualitatif", précise notre interlocuteur.
"Le développement durable n’est pas encore un pré-requis"
Le Pôle d’Intelligence Logistique Europe du Sud (Pil’es) et le réseau Logistique 42 ont été reconnus "grappe d’entreprises" dans le cadre de l’appel à projet "soutien à la dynamique des grappes d’entreprises", lancé par la Datar. Les expertises des uns et des autres doivent participer à l’accompagnement et au développement des fonctions logistiques. Le Pil’es et Logistique 42 vont prochainement proposer à leurs adhérents un programme annuel mutualisé de formation et ils effectuent ensemble une veille documentaire.
Logistique 42, le Pil’es et le Club logistique globale organisent chaque année les Trophées Rhône-Alpes de la logistique durable remis lors du salon Spilog.
Logistique 42 participe aussi à la révision du schéma de cohérence logistique de la Région urbaine de Lyon. "Nous devons recenser les évolutions de ce secteur dans la Loire depuis 2005", remarque Céline Duris, chargée de mission.
Tous les troisièmes jeudis de chaque mois, des réunions-visites sont organisées. Après Norbert Dentressangle, c’est la société Fischer Darex du Chambon-Feugerolles qui accueillera les membres de ce réseau, facilitateur d’affaires, d’échanges et d’expériences.
En avril 2013, Logistique 42 lancera un salon des métiers de la logistique dans la région stéphanoise afin de présenter les diverses facettes de cette fonction transversale et de multiplier les opportunités de rencontres entre l’offre et la demande.