Lyon peut devenir le centre de gravité de la logistique pharmaceutique en France. C’est la conviction du Pharma Logistics Club, organisateur du deuxième séminaire Tips à… Lyon.
Pour sa seconde édition, après une première à Lille en novembre 2017, Tips (Transport international pharma séminaire) avait choisi la Cité internationale de Lyon pour deux journées de réflexion et de rencontres professionnelles. Un choix judicieux au vu du nombre d’inscrits (500) originaires d’une dizaine de pays : Qatar, Maroc, Ukraine, Russie, Suisse, en particulier. Un premier signe positif pour Serge Alézier, fondateur et délégué général du Pharma Logistics Club (PLC), de la prédominance acquise par la métropole lyonnaise dans les secteurs pharmaceutique et logistique. Ces derniers mois, de nouveaux investissements sont venus conforter cette situation. Eurotranspharma a créé un hub logistique, 4.300 m2 d’entrepôts frigorifiques à Miribel Jonage, près de Lyon, et Rhenus Logistics a ouvert un entrepôt sous température dirigée de 13.000 m2 à Saint-Quentin-Fallavier (Isère).
Rédaction d’un livre blanc
Pour ce second round, l’association interprofessionnelle créée en juin 2015 avait choisi d’axer les seize ateliers thématiques et séances plénières animés par une centaine d’experts autour de "l’intégrité des données au sein des bonnes pratiques de distribution". Avec par exemple la position des compagnies aériennes sur le marché pharmaceutique et les obligations vis-à-vis de la Data Integrity, des points sur la numérisation du transport routier, sur la réutilisation des emballages isothermes, sur la chaîne logistique des essais cliniques ou sur les attentes du chargeur pharmaceutique en termes d’exigences liées au produit.
De premiers enseignements peuvent être tirés. Pour Serge Alézier, une prise de conscience a émergé autour des problématiques numériques, de la blockchain, de l’e-santé et, au-delà, "en matière d’exigences professionnelles par rapport aux appels d’offres et aux cahiers des charges". À Lyon, le LEEM qui fédère les entreprises du médicament a d’ailleurs annoncé qu’il confiait la rédaction d’un livre blanc sur le transport et la logistique au PLC.
Rédaction d’un livre blanc
Pour ce second round, l’association interprofessionnelle créée en juin 2015 avait choisi d’axer les seize ateliers thématiques et séances plénières animés par une centaine d’experts autour de "l’intégrité des données au sein des bonnes pratiques de distribution". Avec par exemple la position des compagnies aériennes sur le marché pharmaceutique et les obligations vis-à-vis de la Data Integrity, des points sur la numérisation du transport routier, sur la réutilisation des emballages isothermes, sur la chaîne logistique des essais cliniques ou sur les attentes du chargeur pharmaceutique en termes d’exigences liées au produit.
De premiers enseignements peuvent être tirés. Pour Serge Alézier, une prise de conscience a émergé autour des problématiques numériques, de la blockchain, de l’e-santé et, au-delà, "en matière d’exigences professionnelles par rapport aux appels d’offres et aux cahiers des charges". À Lyon, le LEEM qui fédère les entreprises du médicament a d’ailleurs annoncé qu’il confiait la rédaction d’un livre blanc sur le transport et la logistique au PLC.
