La société informatique MGI a célébré le 17 octobre 2019 le premier anniversaire de la première escale traitée à Marseille-Fos sous son "cargo intelligence system" Ci5. Au travers de son pôle innovation, l'entreprise met ses compétences au service de la technologie blockchain.
Un an après la mise en production de Ci5, Dominique Lebreton, membre du directoire de MGI, estime que ce cargo community system (CCS) s'avère un "cargo intelligence system" car il a mis sur le marché de nombreuses évolutions technologiques intégrant l'intelligence artificielle visant à capturer l'information.
Selon lui, la dernière en date est l'application mobile de Ci5. Celle-ci permet de connaître le statut de la marchandise. Elle donne l'information du conteneur vide dès sa sortie de l'entrepôt mais aussi de la marchandise en sortie de chez l'exportateur.
"Pour les commerciaux de la place portuaire, Ci5 mobile représente un bon outil", indique Dominique Lebreton.
Il évoque également le pôle Innovation de MGI créé il y a cinq ans, placé sous la responsabilité de Christophe Reynaud. Un pôle rebaptisé récemment MGI Lab qui a donné naissance à des projets novateurs tels que Galena et Meers.
Concernant Galena, Christophe Reynaud, le responsable du pôle, juge que ce projet permet de valoriser le manifeste. Il estime que "le croisement des manifestes et autres sources de données limitent les mouvements supplémentaires sur un terminal".
"Maîtriser le transport de bout-en-bout et sécuriser les informations"
Quant au projet Meers, piloté par le délégué interministériel Jean-Claude Baudoin, Dominique Lebreton rappelle que MGI est le partenaire de Buyco et de la start-up KeeeX. Il souligne que "l'objectif est de promouvoir le report modal sur l'axe rhodanien à travers la technologie blockchain". Évoquant le travail fourni au cours du premier semestre, il explique que l'idée était de démontrer que KeeeX, couplée à Ci5, permettait de "maîtriser le transport de bout-en-bout et de sécuriser les informations". "Avec Transcausse, on a pris des images et on a récupéré dans Ci5 chaque étape de l'opération, de l'empotage de la marchandise dans le conteneur à la pose des plombs". L'avantage, selon lui, est de "pouvoir envoyer ces informations à destination en temps réel".
Le membre du directoire de MGI ajoute qu'une assurance peut être ajoutée. Selon lui, "le conteneur devient transparent sur l'axe Rhône-Saône. C'est ce qu'on va présenter à l'OMD". Il juge qu'avec ce dispositif, le scanning des boîtes n'est pas nécessaire. Selon lui, le système pourrait être utilisé également sur la Seine, à Dunkerque et ailleurs aussi.
Selon lui, la dernière en date est l'application mobile de Ci5. Celle-ci permet de connaître le statut de la marchandise. Elle donne l'information du conteneur vide dès sa sortie de l'entrepôt mais aussi de la marchandise en sortie de chez l'exportateur.
"Pour les commerciaux de la place portuaire, Ci5 mobile représente un bon outil", indique Dominique Lebreton.
Il évoque également le pôle Innovation de MGI créé il y a cinq ans, placé sous la responsabilité de Christophe Reynaud. Un pôle rebaptisé récemment MGI Lab qui a donné naissance à des projets novateurs tels que Galena et Meers.
Concernant Galena, Christophe Reynaud, le responsable du pôle, juge que ce projet permet de valoriser le manifeste. Il estime que "le croisement des manifestes et autres sources de données limitent les mouvements supplémentaires sur un terminal".
"Maîtriser le transport de bout-en-bout et sécuriser les informations"
Quant au projet Meers, piloté par le délégué interministériel Jean-Claude Baudoin, Dominique Lebreton rappelle que MGI est le partenaire de Buyco et de la start-up KeeeX. Il souligne que "l'objectif est de promouvoir le report modal sur l'axe rhodanien à travers la technologie blockchain". Évoquant le travail fourni au cours du premier semestre, il explique que l'idée était de démontrer que KeeeX, couplée à Ci5, permettait de "maîtriser le transport de bout-en-bout et de sécuriser les informations". "Avec Transcausse, on a pris des images et on a récupéré dans Ci5 chaque étape de l'opération, de l'empotage de la marchandise dans le conteneur à la pose des plombs". L'avantage, selon lui, est de "pouvoir envoyer ces informations à destination en temps réel".
Le membre du directoire de MGI ajoute qu'une assurance peut être ajoutée. Selon lui, "le conteneur devient transparent sur l'axe Rhône-Saône. C'est ce qu'on va présenter à l'OMD". Il juge qu'avec ce dispositif, le scanning des boîtes n'est pas nécessaire. Selon lui, le système pourrait être utilisé également sur la Seine, à Dunkerque et ailleurs aussi.
