Le "MSC Grandiosa" a appareillé le 16 août vers 19 heures trente dans le port de Gênes pour entamer un voyage avec 2.500 passagers à bord.
Dans le cadre de cette nouvelle croisière d'une durée de sept jours, le paquebot de l'armateur italo-suisse MSC Croisières doit faire escale à Rome-Civita Vecchia, Naples, Palerme et dans le port maltais de La Valette.
L'industrie de la croisière a été malmenée pendant quelques mois par la crise économique issue de la crise sanitaire. Le secteur a également souffert des critiques sur sa gestion du coronavirus à bord des navires au début de la pandémie.
MSC Croisières a prévu de déployer le "MSC Magnifica" dès la fin du mois pour organiser une croisière en Méditerranée orientale.
Costa Croisières attendu pour septembre
Costa Croisières (filiale de l'américain Carnival), son concurrent, a choisi de son côté de retarder à septembre la reprise partielle de ses croisières.
Le secteur des croisières en Europe représente un chiffre d'affaires de 14,5 milliards d'euros par an et près de 53.000 emplois selon l'Association internationale des compagnies de croisières (CLIA).
L'association estime que le secteur pourrait perdre jusqu'à 25,5 milliards d'euros de revenus en raison de l'interruption des croisières.
"Le voyage (...) représente un signe tangible de retour pour l'un des secteurs économiques fondamentaux de notre ville", a déclaré le maire de Gênes Marco Bucci. Plus de deux millions de croisiéristes sont partis de la capitale de la Ligurie l'an dernier.
Les regards du secteur seront braqués sur le "Grandiosa après les ratés d'une petite compagnie norvégienne Hurtigruten". Cette dernière été forcée plus tôt ce mois-ci de suspendre à nouveau ses croisières après le constat de la contamination au coronavirus de dizaines de passagers et de membres de l'équipage.
Dans le cadre de cette nouvelle croisière d'une durée de sept jours, le paquebot de l'armateur italo-suisse MSC Croisières doit faire escale à Rome-Civita Vecchia, Naples, Palerme et dans le port maltais de La Valette.
L'industrie de la croisière a été malmenée pendant quelques mois par la crise économique issue de la crise sanitaire. Le secteur a également souffert des critiques sur sa gestion du coronavirus à bord des navires au début de la pandémie.
MSC Croisières a prévu de déployer le "MSC Magnifica" dès la fin du mois pour organiser une croisière en Méditerranée orientale.
Costa Croisières attendu pour septembre
Costa Croisières (filiale de l'américain Carnival), son concurrent, a choisi de son côté de retarder à septembre la reprise partielle de ses croisières.
Le secteur des croisières en Europe représente un chiffre d'affaires de 14,5 milliards d'euros par an et près de 53.000 emplois selon l'Association internationale des compagnies de croisières (CLIA).
L'association estime que le secteur pourrait perdre jusqu'à 25,5 milliards d'euros de revenus en raison de l'interruption des croisières.
"Le voyage (...) représente un signe tangible de retour pour l'un des secteurs économiques fondamentaux de notre ville", a déclaré le maire de Gênes Marco Bucci. Plus de deux millions de croisiéristes sont partis de la capitale de la Ligurie l'an dernier.
Les regards du secteur seront braqués sur le "Grandiosa après les ratés d'une petite compagnie norvégienne Hurtigruten". Cette dernière été forcée plus tôt ce mois-ci de suspendre à nouveau ses croisières après le constat de la contamination au coronavirus de dizaines de passagers et de membres de l'équipage.
Un nouveau protocole de sécurité dépasse les standards, selon l'armateur
Les autorités sanitaires mondiales ont critiqué la réaction lente des compagnies de croisières face à la propagation du virus avant l'arrêt complet des navires en mars. À bord, les buffets ou salles de sport restaient ainsi ouverts et les équipements de protection individuelle manquaient cruellement.
Selon des données de l'université Johns Hopkins aux États-Unis, fournies par la CLIA, 3.047 cas et 73 décès ont été recensés après des contaminations à bord des navires de croisière affiliés à l'association.
MSC Croisières affirme de son côté que son nouveau protocole de sécurité dépasse les standards nationaux et du secteur.
Au terminal d'embarquement, avant de monter à bord, les passagers et les membres d'équipages seront testés au Covid-19 par une prise de sang, et leur température sera vérifiée quotidiennement.