Avec des résultats annuels 2017 marqués par une bonne croissance des filières impliquant les professionnels de la place, la cérémonie des vœux 2018 présentés à la communauté portuaire a été l'occasion de rendre hommage à cette dernière.
Selon le président du conseil de surveillance du Grand Port maritime de Marseille (GPMM), Jean-Marc Forneri, les bons chiffres de l'année 2017 sont le fruit d'un "succès collectif".
Rappelant que malgré la chute du pétrole, le tonnage du GPMM est resté en 2017 équivalent à celui de 2016, il a souligné "le cluster portuaire local produit 10,7 % de la richesse produite dans le département" des Bouches-du-Rhône.
Après avoir évoqué le développement de l'activité industrielle dans les bassins Est "grâce à la reprise de la Forme 10 après dix-sept ans de sommeil", puis l'achèvement des travaux de la passe Nord, il a souligné que le port phocéen est "le creuset de projets novateurs" avec ceux des entreprises Massileo et Thassalia.
Dans le sillage de La Méridionale, il a annoncé également que Corsica Linea allait équiper trois ferries pour qu'ils puissent effectuer des branchements électriques à quai lors de leurs escales dans le port phocéen. Une installation sera mise en place quai du Maroc pour leur permettre de s'alimenter.
La cérémonie des vœux à la place portuaire marseillaise fut l'occasion cette année pour Christine Cabau-Woehrel, la présidente du directoire du GPMM, de confirmer que "malgré la disparition de 2,7 Mt de pétrole brut", le port de Marseille-Fos a su rester à la première place en France, en conservant le volume de 2016. Une posture qu'elle doit à "la stratégie de diversification" menée. Le port phocéen a achevé l'année sur un chiffre d'affaires en progression de 7,3 % sur un an.
2018 sera marquée à Fos par le début des travaux de "la rotule", la jonction entre les deux terminaux conteneurs de Fos2XL.
Le GPMM a démarré l'année sur "un contrat emblématique" en signant à Pékin, lors de la mission conduite par le président Emmanuel Macron en Chine, une lettre d'intention avec le groupe Quechen.
Jean-Philippe Salducci, le président de l'Union maritime et fluviale de Marseille-Fos, nourrit de grands espoirs pour l'année 2018. D'autant que le projet de navette ferroviaire reliant Fos à la Suisse romande dans lequel il s'est tant impliqué va être lancé dès le mois de mars, en partenariat avec la place portuaire havraise, via la plateforme de Gevrey en Bourgogne. Il souhaite que le port phocéen "gravisse le top 5 des ports européens".
Quant à Hervé Balladur, le président de Via Marseille-Fos (VMF), il a énoncé le programme de manifestations et de missions auxquelles va prendre part l'association de promotion de la place portuaire marseillaise.
Enfin, Jacques Hardeley, président de Chantier naval de Marseille (CNM), a indiqué vouloir "robotiser une application de peinture pour améliorer les conditions de travail. Il souhaite voir arriver dans les formes du port phocéen "des méthaniers et les navires d'intervention offshore".
Selon le président du conseil de surveillance du Grand Port maritime de Marseille (GPMM), Jean-Marc Forneri, les bons chiffres de l'année 2017 sont le fruit d'un "succès collectif".
Rappelant que malgré la chute du pétrole, le tonnage du GPMM est resté en 2017 équivalent à celui de 2016, il a souligné "le cluster portuaire local produit 10,7 % de la richesse produite dans le département" des Bouches-du-Rhône.
Après avoir évoqué le développement de l'activité industrielle dans les bassins Est "grâce à la reprise de la Forme 10 après dix-sept ans de sommeil", puis l'achèvement des travaux de la passe Nord, il a souligné que le port phocéen est "le creuset de projets novateurs" avec ceux des entreprises Massileo et Thassalia.
Dans le sillage de La Méridionale, il a annoncé également que Corsica Linea allait équiper trois ferries pour qu'ils puissent effectuer des branchements électriques à quai lors de leurs escales dans le port phocéen. Une installation sera mise en place quai du Maroc pour leur permettre de s'alimenter.
La cérémonie des vœux à la place portuaire marseillaise fut l'occasion cette année pour Christine Cabau-Woehrel, la présidente du directoire du GPMM, de confirmer que "malgré la disparition de 2,7 Mt de pétrole brut", le port de Marseille-Fos a su rester à la première place en France, en conservant le volume de 2016. Une posture qu'elle doit à "la stratégie de diversification" menée. Le port phocéen a achevé l'année sur un chiffre d'affaires en progression de 7,3 % sur un an.
2018 sera marquée à Fos par le début des travaux de "la rotule", la jonction entre les deux terminaux conteneurs de Fos2XL.
Le GPMM a démarré l'année sur "un contrat emblématique" en signant à Pékin, lors de la mission conduite par le président Emmanuel Macron en Chine, une lettre d'intention avec le groupe Quechen.
Jean-Philippe Salducci, le président de l'Union maritime et fluviale de Marseille-Fos, nourrit de grands espoirs pour l'année 2018. D'autant que le projet de navette ferroviaire reliant Fos à la Suisse romande dans lequel il s'est tant impliqué va être lancé dès le mois de mars, en partenariat avec la place portuaire havraise, via la plateforme de Gevrey en Bourgogne. Il souhaite que le port phocéen "gravisse le top 5 des ports européens".
Quant à Hervé Balladur, le président de Via Marseille-Fos (VMF), il a énoncé le programme de manifestations et de missions auxquelles va prendre part l'association de promotion de la place portuaire marseillaise.
Enfin, Jacques Hardeley, président de Chantier naval de Marseille (CNM), a indiqué vouloir "robotiser une application de peinture pour améliorer les conditions de travail. Il souhaite voir arriver dans les formes du port phocéen "des méthaniers et les navires d'intervention offshore".
