Seayard a commandé un portique de dernière génération qui devrait entrer en service en 2017. Le manutentionnaire de Fos 2XL souhaite augmenter sa productivité et anticiper sur l'augmentation de la taille des porte-conteneurs.
Conformément à ce qu'il avait annoncé en fin d'année 2015, Seayard a commandé un nouveau portique. Pour étoffer ses outillages, le manutentionnaire de Fos-sur-Mer a choisi le constructeur espagnol Paceco, comme l'a fait récemment Eurofos, qui partage avec lui le terminal Fos 2XL. Seayard a également une option d'achat pour une seconde unité identique.
Acheminement par la route
Le portique a une portée légèrement supérieure aux deux utilisés par le manutentionnaires depuis 2012, soit 24 conteneurs en largeur contre 22. Sa mise en service est annoncée pour mars ou avril 2017. Cet investissement est réalisé afin d'accompagner la croissance des volumes et celle de la taille des porte-conteneurs, avec la nécessité d'anticiper cette dernière. "Ce portique sera capable de traiter des navires de 20.000 EVP, même si nous ne pensons pas en recevoir de sitôt à Fos", annonce ainsi Claus Ellemann-Jensen, le PDG de Seayard.
Le portique sera acheminé non par la mer mais par la route en pièces détachées depuis l'usine de Paceco à Bilbao puis assemblé à même le terminal à conteneurs. Ce sera une première pour Seayard. La première pièce devrait arriver en août de cette année.
Meilleure productivité par navire
Avec cette acquisition, Seayard sera en mesure d'offrir une meilleure productivité, plus seulement par portique mais aussi par navire. Elle permettra de positionner trois engins super post-panamax au lieu de deux actuellement sur les plus gros porte-conteneurs opérés au GPMM (13 à14.000 EVP pour 21 rangées de conteneurs) pour gagner en vitesse de traitement.
Acheminement par la route
Le portique a une portée légèrement supérieure aux deux utilisés par le manutentionnaires depuis 2012, soit 24 conteneurs en largeur contre 22. Sa mise en service est annoncée pour mars ou avril 2017. Cet investissement est réalisé afin d'accompagner la croissance des volumes et celle de la taille des porte-conteneurs, avec la nécessité d'anticiper cette dernière. "Ce portique sera capable de traiter des navires de 20.000 EVP, même si nous ne pensons pas en recevoir de sitôt à Fos", annonce ainsi Claus Ellemann-Jensen, le PDG de Seayard.
Le portique sera acheminé non par la mer mais par la route en pièces détachées depuis l'usine de Paceco à Bilbao puis assemblé à même le terminal à conteneurs. Ce sera une première pour Seayard. La première pièce devrait arriver en août de cette année.
Meilleure productivité par navire
Avec cette acquisition, Seayard sera en mesure d'offrir une meilleure productivité, plus seulement par portique mais aussi par navire. Elle permettra de positionner trois engins super post-panamax au lieu de deux actuellement sur les plus gros porte-conteneurs opérés au GPMM (13 à14.000 EVP pour 21 rangées de conteneurs) pour gagner en vitesse de traitement.