L'inscription de l'axe Marseille-Genève dans le corridor ferroviaire mer du Nord-Méditerranée se concrétise. Le projet, qui a nécessité deux ans de travail de la part de l'Union maritime et fluviale de Marseille-Fos, des élus, des acteurs de la place portuaire et suisses, va permettre au port phocéen de repartir à la conquête de la Suisse romande.
Jean-Luc Chauvin, le président de la Chambre de commerce et d'industrie Marseille-Provence, se dit convaincu que l'ouverture que l'axe Marseille-Genève va "générer de nouveaux flux et du business pour le GPMM". Reprenant à son compte la formule du président de l'Union maritime et portuaire de Marseille-Fos (UMF), Jean-Philippe Salducci, il déclare à son tour que "le barycentre des échanges va basculer vers le Sud de l'Europe".
"Medlink Ports est le Haropa du Sud"
Selon Christine Cabau-Woerhel, la présidente du directoire du Grand Port maritime de Marseille (GPMM), qui souligne que la place marseillaise a eu le soutien de l'État et la Région Paca, "cette facilité ferroviaire" va permettre de "gagner en transit-time et de réduire l'empreinte carbone". Indiquant que la croissance du trafic conteneurisé a enregistré sur les quais du GPMM une croissance de 8 % en 2016, elle souligne que "Medlinks Ports est le Haropa du Sud".
"Medlink Ports est le Haropa du Sud"
Selon Christine Cabau-Woerhel, la présidente du directoire du Grand Port maritime de Marseille (GPMM), qui souligne que la place marseillaise a eu le soutien de l'État et la Région Paca, "cette facilité ferroviaire" va permettre de "gagner en transit-time et de réduire l'empreinte carbone". Indiquant que la croissance du trafic conteneurisé a enregistré sur les quais du GPMM une croissance de 8 % en 2016, elle souligne que "Medlinks Ports est le Haropa du Sud".