La foudre, des réservoirs de carburant pleins et un atterrissage violent : le pilote de l'avion Aeroflot qui s'est embrasé dimanche 5 mai à l'aéroport Chermetievo de Moscou en faisant 41 morts a mis en cause les conditions météorologiques difficiles.
Si les circonstances exactes n'ont pas encore été officiellement révélées, le commandant de bord, Denis Evdokimov, a rapporté aux médias russes que le Soukhoï Superjet 100 avait dû effectuer un atterrissage d'urgence après avoir perdu une partie du matériel de bord en raison de la foudre. "Nous avons perdu le contact radio et sommes passés en régime de pilotage minimal (...) C'est-à-dire sans ordinateur comme à l'ordinaire, mais de manière directe. En régime d'urgence", a expliqué le pilote au tabloïd "Komsomolskaïa Pravda".
"Nous sommes parvenus à rétablir la liaison via la fréquence d'urgence, mais elle était courte et fonctionnait seulement par intermittences", a-t-il ajouté, estimant que cet ennui a empêché le largage de carburant avant le retour. Selon le commandant de bord, c'est à cause du violent atterrissage que l'appareil a pris feu. "La raison est sûrement la suivante : les réservoirs étaient pleins", a-t-il indiqué.
Les premières sources faisaient état d'un incendie s'étant déclaré à bord mais une vidéo publiée plusieurs heures après le crash montre l'appareil touchant le tarmac, puis rebondissant avant de s'enflammer.
Si les circonstances exactes n'ont pas encore été officiellement révélées, le commandant de bord, Denis Evdokimov, a rapporté aux médias russes que le Soukhoï Superjet 100 avait dû effectuer un atterrissage d'urgence après avoir perdu une partie du matériel de bord en raison de la foudre. "Nous avons perdu le contact radio et sommes passés en régime de pilotage minimal (...) C'est-à-dire sans ordinateur comme à l'ordinaire, mais de manière directe. En régime d'urgence", a expliqué le pilote au tabloïd "Komsomolskaïa Pravda".
"Nous sommes parvenus à rétablir la liaison via la fréquence d'urgence, mais elle était courte et fonctionnait seulement par intermittences", a-t-il ajouté, estimant que cet ennui a empêché le largage de carburant avant le retour. Selon le commandant de bord, c'est à cause du violent atterrissage que l'appareil a pris feu. "La raison est sûrement la suivante : les réservoirs étaient pleins", a-t-il indiqué.
Les premières sources faisaient état d'un incendie s'étant déclaré à bord mais une vidéo publiée plusieurs heures après le crash montre l'appareil touchant le tarmac, puis rebondissant avant de s'enflammer.