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Le bruit croissant ou la dangerosité de l'actuel aéroport de Nantes ne peuvent justifier la construction d'un nouvel aéroport, selon les opposants au projet. "Plusieurs autres grandes villes" sont survolées par des avions arrivant à l'aéroport, "comme Toulouse, Bordeaux, Strasbourg, Marseille, mais aussi Londres", a souligné Françoise Verchère, conseillère générale du parti de gauche.
En terme de dangerosité, Nantes-Atlantique est classé en catégorie A, la meilleure, "comme la majorité des aéroports français", a estimé la "coordination des opposants au projet de nouvel aéroport à Notre-Dame-des-Landes". "Cette histoire de risque nous fait rigoler, c’est un gros mensonge", a pour sa part affirmé Vincent Liquière, représentant d'un collectif de pilotes peu convaincus par la nécessité d'un nouvel équipement.
Les opposants ont aussi réfuté que la progression du nombre de passagers entrainerait celle du bruit. Ils ont souligné que, si le nombre de passagers annuels est bien passé, de 1,879 million en 2000 à 2,954 millions en 2010, dans le même temps, le nombre de vols a diminué de 43.000 à 40.000 par an puisque le taux de remplissage des avions est passé de 46 passagers par vol en 2000 à 77 en 2010, selon la DGAC. "En plus, pour Vincent Liquière, avec la progressive suppression des avions à hélice et les réacteurs plus modernes, les avions sont de plus en plus silencieux". Selon lui la mise en application à Nantes de la nouvelle procédure d'atterrissage dite "en descente continue", qui n'a pas encore commencé, réduirait encore plus les nuisances sonores.
En terme de dangerosité, Nantes-Atlantique est classé en catégorie A, la meilleure, "comme la majorité des aéroports français", a estimé la "coordination des opposants au projet de nouvel aéroport à Notre-Dame-des-Landes". "Cette histoire de risque nous fait rigoler, c’est un gros mensonge", a pour sa part affirmé Vincent Liquière, représentant d'un collectif de pilotes peu convaincus par la nécessité d'un nouvel équipement.
Les opposants ont aussi réfuté que la progression du nombre de passagers entrainerait celle du bruit. Ils ont souligné que, si le nombre de passagers annuels est bien passé, de 1,879 million en 2000 à 2,954 millions en 2010, dans le même temps, le nombre de vols a diminué de 43.000 à 40.000 par an puisque le taux de remplissage des avions est passé de 46 passagers par vol en 2000 à 77 en 2010, selon la DGAC. "En plus, pour Vincent Liquière, avec la progressive suppression des avions à hélice et les réacteurs plus modernes, les avions sont de plus en plus silencieux". Selon lui la mise en application à Nantes de la nouvelle procédure d'atterrissage dite "en descente continue", qui n'a pas encore commencé, réduirait encore plus les nuisances sonores.