Le paquebot "Viking Sky" a regagné sans encombre la terre ferme dimanche 24 mars au terme d'une journée éprouvante en raison d'une panne moteur dans des eaux périlleuses de l'ouest de la Norvège. Escorté de remorqueurs, le navire de croisière est entré dans le port de Molde en fin d'après-midi. Près d'un tiers de ses 1.373 occupants avaient auparavant été évacués par hélicoptère dans le cadre d'une opération de sauvetage spectaculaire.
Le navire de croisière, victime samedi d'une avarie dans des eaux périlleuses au large de la Norvège, avait pu redémarrer trois de ses quatre moteurs avant d'être remorqué.
Le paquebot s'est lentement éloigné du littoral jalonné de périlleux récifs au large de la région de Møre og Romsdal, dans l'Ouest de la Norvège. Samedi matin, 17 des 338 personnes évacuées avaient été hospitalisées, selon le responsable des opérations de la police, Borge Amdam. Les passagers, de 16 nationalités différentes, étaient pour la plupart britanniques ou américains.
En provenance de Tromsø et à destination de Stavanger, le navire a été pris dans une tempête violente. Il a perdu sa puissance moteur et a commencé à dériver vers le littoral. Son équipage a ensuite réussi à redémarrer un moteur et à ancrer le navire, qui s'est stabilisé à environ deux kilomètres des côtes. Dans la même zone, un navire marchand a également eu une panne de moteur, a indiqué la police. "C'est dangereux de rencontrer des problèmes moteur dans ces eaux qui cachent de nombreux récifs", a indiqué le chef des opérations de la police, Tor Andre Franck, précisant que les creux atteignaient jusqu'à 8 mètres.
La navigation est notoirement périlleuse sur ce tronçon maritime, connu sous le nom de Hustadvika, au point que les autorités norvégiennes envisagent la construction d'un tunnel pour bateaux dans une montagne du littoral pour éviter les transits en pleine mer.
Déjà à leur époque, les Vikings, pourtant navigateurs émérites, hésitaient à emprunter ces eaux et préféraient hisser et transporter d'un fjord à l'autre leurs embarcations par la voie terrestre.
Exploité par l'opérateur norvégien Viking Ocean Cruises, le "Viking Sky" a été lancé en 2017. Il peut embarquer 930 passagers.
Le navire de croisière, victime samedi d'une avarie dans des eaux périlleuses au large de la Norvège, avait pu redémarrer trois de ses quatre moteurs avant d'être remorqué.
Le paquebot s'est lentement éloigné du littoral jalonné de périlleux récifs au large de la région de Møre og Romsdal, dans l'Ouest de la Norvège. Samedi matin, 17 des 338 personnes évacuées avaient été hospitalisées, selon le responsable des opérations de la police, Borge Amdam. Les passagers, de 16 nationalités différentes, étaient pour la plupart britanniques ou américains.
En provenance de Tromsø et à destination de Stavanger, le navire a été pris dans une tempête violente. Il a perdu sa puissance moteur et a commencé à dériver vers le littoral. Son équipage a ensuite réussi à redémarrer un moteur et à ancrer le navire, qui s'est stabilisé à environ deux kilomètres des côtes. Dans la même zone, un navire marchand a également eu une panne de moteur, a indiqué la police. "C'est dangereux de rencontrer des problèmes moteur dans ces eaux qui cachent de nombreux récifs", a indiqué le chef des opérations de la police, Tor Andre Franck, précisant que les creux atteignaient jusqu'à 8 mètres.
La navigation est notoirement périlleuse sur ce tronçon maritime, connu sous le nom de Hustadvika, au point que les autorités norvégiennes envisagent la construction d'un tunnel pour bateaux dans une montagne du littoral pour éviter les transits en pleine mer.
Déjà à leur époque, les Vikings, pourtant navigateurs émérites, hésitaient à emprunter ces eaux et préféraient hisser et transporter d'un fjord à l'autre leurs embarcations par la voie terrestre.
Exploité par l'opérateur norvégien Viking Ocean Cruises, le "Viking Sky" a été lancé en 2017. Il peut embarquer 930 passagers.