Les normes environnementales "doivent être les mêmes partout en Europe" pour les produits alimentaires dans le cadre de la future politique agricole commune (PAC), selon le ministre de l'agriculture, au lendemain de la réautorisation en France des insecticides néonicotinoïdes pour la culture des betteraves. "L'Europe est un marché commun (...) il est inacceptable que dans nos étals de supermarchés vous ayez un concombre européen qui n'a pas les mêmes normes écologiques qu'un concombre français" a déclaré Julien Denormandie.
"Ce sur quoi je me bats auprès de la Commission européenne et des autres ministres européens, c'est que les règles environnementales s'appliquent partout en Europe", a déclaré le ministre. Pour y arriver, "on a un événement historique, qui est cette nouvelle politique agricole commune" en cours de négociation. "Quand vous négociez les règles de la politique agricole commune, vous demandez que ces règles s'appliquent partout pareil" a-t-il ajouté.
Quatorze pays sur dix-neuf producteurs de betteraves (Allemagne, Royaume-Uni, Pologne, Belgique, Danemark, Roumanie, Espagne, Autriche, Croatie, Finlande, Lituanie, République Tchèque, Slovaquie et Grèce) ont accordé des dérogations à l'utilisation des néonicotinoïdes en 2019 et 2020, alors que la France, qui les avait interdits en 2018, s'apprête à subir une récolte en forte baisse en raison d'une "jaunisse" transmise par un insecte.
"Ce sur quoi je me bats auprès de la Commission européenne et des autres ministres européens, c'est que les règles environnementales s'appliquent partout en Europe", a déclaré le ministre. Pour y arriver, "on a un événement historique, qui est cette nouvelle politique agricole commune" en cours de négociation. "Quand vous négociez les règles de la politique agricole commune, vous demandez que ces règles s'appliquent partout pareil" a-t-il ajouté.
Quatorze pays sur dix-neuf producteurs de betteraves (Allemagne, Royaume-Uni, Pologne, Belgique, Danemark, Roumanie, Espagne, Autriche, Croatie, Finlande, Lituanie, République Tchèque, Slovaquie et Grèce) ont accordé des dérogations à l'utilisation des néonicotinoïdes en 2019 et 2020, alors que la France, qui les avait interdits en 2018, s'apprête à subir une récolte en forte baisse en raison d'une "jaunisse" transmise par un insecte.