La première pierre d'un nouveau terminal de croisière vient d'être posée à Papeete. Un projet qui illustre la volonté du Port autonome et des collectivités locales polynésiennes de donner un essor à la tête de ligne.
Conçu en 2018 par un comité de pilotage regroupant le Port autonome de Papeete, des acteurs du monde de la croisière et des collectivités locales, le projet de nouveau terminal international se développe.
Adaptations aux conditions météo
Sa superficie de 2.700 mètres-carrés devra lui permettre d'accueillir des paquebots de tête de ligne, à savoir des navires générant des flux de 1.400 à 2.400 passagers.
Selon la direction du Port autonome, ce terminal permettra d’assurer l’accueil, l’enregistrement des croisiéristes et leur bagagerie, mais aussi d'améliorer leur sécurité́ et leur confort. L'autorité portuaire souligne qu'il restera toutefois conforme avec les normes imposées par le code international pour la sûreté des navires (ISPS).
Pour l'autorité portuaire, le projet s'inscrit dans le droit fil des aménagements réalisés sur la promenade du front de mer. Concernant l’ensemble des matériaux qui seront utilisés, elle ajoute qu'un critère revêt une importance singulière : "leur adaptation aux conditions climatiques et à l’air marin".
Une ambition de "tête de ligne régionale"
De même, les dirigeants portuaires estiment que "la facilité d’entretien et d’utilisation des équipements techniques, la mise en place d’espaces verts aériens et la récupération des eaux de pluies complètent cette architecture". Ils soulignent que la nouvelle infrastructure tiendra compte des normes environnementales imposées.
Ce projet a été confié à un groupement de cinq membres. Boyer, Tropical Architecture, Luseo, Pacific, Polynésie Ingénierie et Cegelec en font partie. Le montant de ce marché de "conception-réalisation" s'est élevé à 1,75 milliard (14,6 millions d'euros) francs pacifiques français (xpf) qui comprend les bâtiments, le parking sous-terrain et l’aménagement paysager.
Le nouveau terminal international de croisière doit donner au port polynésien l'aptitude à être mieux structuré et pouvoir se positionner en tant de tête de ligne régionale. L'établissement portuaire entend ainsi "maintenir la Polynésie dans la catégorie hyper concurrentielle des destinations privilégiées des navires de croisières".
Adaptations aux conditions météo
Sa superficie de 2.700 mètres-carrés devra lui permettre d'accueillir des paquebots de tête de ligne, à savoir des navires générant des flux de 1.400 à 2.400 passagers.
Selon la direction du Port autonome, ce terminal permettra d’assurer l’accueil, l’enregistrement des croisiéristes et leur bagagerie, mais aussi d'améliorer leur sécurité́ et leur confort. L'autorité portuaire souligne qu'il restera toutefois conforme avec les normes imposées par le code international pour la sûreté des navires (ISPS).
Pour l'autorité portuaire, le projet s'inscrit dans le droit fil des aménagements réalisés sur la promenade du front de mer. Concernant l’ensemble des matériaux qui seront utilisés, elle ajoute qu'un critère revêt une importance singulière : "leur adaptation aux conditions climatiques et à l’air marin".
Une ambition de "tête de ligne régionale"
De même, les dirigeants portuaires estiment que "la facilité d’entretien et d’utilisation des équipements techniques, la mise en place d’espaces verts aériens et la récupération des eaux de pluies complètent cette architecture". Ils soulignent que la nouvelle infrastructure tiendra compte des normes environnementales imposées.
Ce projet a été confié à un groupement de cinq membres. Boyer, Tropical Architecture, Luseo, Pacific, Polynésie Ingénierie et Cegelec en font partie. Le montant de ce marché de "conception-réalisation" s'est élevé à 1,75 milliard (14,6 millions d'euros) francs pacifiques français (xpf) qui comprend les bâtiments, le parking sous-terrain et l’aménagement paysager.
Le nouveau terminal international de croisière doit donner au port polynésien l'aptitude à être mieux structuré et pouvoir se positionner en tant de tête de ligne régionale. L'établissement portuaire entend ainsi "maintenir la Polynésie dans la catégorie hyper concurrentielle des destinations privilégiées des navires de croisières".
