Le terminal du Médoc pourrait voir le jour d’ici 2020 à Pauillac et permettrait au port de Bordeaux d’accueillir des paquebots de grande taille. Une nouvelle série d’études techniques est lancée pour en déterminer le coût et le mode d’exploitation.
Avec une cinquantaine d’escales, Bordeaux a accueilli près de 30.000 croisiéristes en 2017 confirmant la progression de l’activité croisière sur la Garonne depuis plusieurs années. Cette croissance n’est toutefois pas homogène et reste moins marquée sur le segment des grands paquebots dont l’accès au port de la Lune est limité à 255 mètres de long. Aussi le Grand Port maritime de Bordeaux (GPMB) a-t-il lancé une réflexion avec les acteurs de la filière Croisière girondine pour améliorer ses conditions d’accueil via la création d’un nouveau point d'entrée baptisé terminal du Médoc. Le site à l’étude, qui bénéficie du soutien des collectivités territoriales, est localisé sur la commune de Pauillac au cœur du vignoble médocain. Ce pôle localisé à quinze minutes de bus de grands châteaux viticoles et à moins d’une heure du centre-ville de Bordeaux serait dédié aux grandes unités.
Des paquebots de 340 mètres
Une première phase d’études techniques s’est achevée fin 2017 et ses conclusions ont été présentées aux élus médocains impliqués. Elles ont permis de valider les aménagements terrestres du futur terminal composés d’un bâtiment d’accueil en zone ISPS avec commerces, et de deux zones de stationnement : l’une à proximité, capable d’accueillir une trentaine de bus, l’autre ayant une fonction de stockage tampon pour recevoir jusqu’à une centaine de véhicules. À une dizaine de minutes à pied du centre-ville de Pauillac, le futur terminal pourra accueillir des paquebots jusqu’à 340 mètres de long environ. "En dehors des escales maritimes, les navires de croisière fluviale de moins de 135 mètres pourront également bénéficier de ces nouvelles infrastructures", précise le GPMB.
Une deuxième série d'études
Dans le prolongement de cette première phase d’études qui a représenté un investissement de 100.000 euros financé par le GPMB et le Contrat de plan État-Région, une deuxième série d’analyses a été engagée. Avec un rendu prévu au début de l’été 2018, elle vise à affiner le plan du futur terminal, son coût de construction et son mode d’exploitation, mais aussi à évaluer l’impact socio-économique de la croisière sur le territoire. Le terminal du Médoc pourrait voir le jour en 2020.
Des paquebots de 340 mètres
Une première phase d’études techniques s’est achevée fin 2017 et ses conclusions ont été présentées aux élus médocains impliqués. Elles ont permis de valider les aménagements terrestres du futur terminal composés d’un bâtiment d’accueil en zone ISPS avec commerces, et de deux zones de stationnement : l’une à proximité, capable d’accueillir une trentaine de bus, l’autre ayant une fonction de stockage tampon pour recevoir jusqu’à une centaine de véhicules. À une dizaine de minutes à pied du centre-ville de Pauillac, le futur terminal pourra accueillir des paquebots jusqu’à 340 mètres de long environ. "En dehors des escales maritimes, les navires de croisière fluviale de moins de 135 mètres pourront également bénéficier de ces nouvelles infrastructures", précise le GPMB.
Une deuxième série d'études
Dans le prolongement de cette première phase d’études qui a représenté un investissement de 100.000 euros financé par le GPMB et le Contrat de plan État-Région, une deuxième série d’analyses a été engagée. Avec un rendu prévu au début de l’été 2018, elle vise à affiner le plan du futur terminal, son coût de construction et son mode d’exploitation, mais aussi à évaluer l’impact socio-économique de la croisière sur le territoire. Le terminal du Médoc pourrait voir le jour en 2020.
