
© Port de Gênes
Fêtant ses 50 ans, l’aéroport de Gênes n’affiche qu’un trafic de 1,4 million de passagers par an. Un chiffre modeste qui ne l’empêche pas d’être classé parmi les plates-formes stratégiques pour la péninsule italienne. Actuellement la société qui le gère est détenue par le port de Gènes (60 %), la CCI de Gênes (25 %) et l’aéroport de Rome (15 %).
Investissements dans le maritime
Aujourd’hui le port souhaite vendre sa participation pour financer d’importants investissements sur les infrastructures maritimes. Si la CCI de Gênes pourrait profiter de l’occasion pour monter sa participation dans le capital, l’aéroport de Rome souhaite également se désengager du capital. Il y a un an une première consultation auprès des repreneurs potentiels des parts n’avait pas été jugée concluante. Le prix exigé (30 millions d'euros pour les 60 %) et certaines obligations (notamment une clause sociale prévoyant le maintien des emplois actuels pour dix ans, de même que la réalisation d’un plan d’investissement d’environ 20 millions d'euros) ont découragé les prétendants dans une Italie qui faisait son entrée dans la crise économique. L’aéroport a pourtant des potentialités de développement tant en matière de réseau que pour certains investissements, comme un pôle mulimodal sur la voie ferrée Gênes-Vintimille, en limite de la plate-forme. Le trafic aérien permettrait également un pré-acheminement des passagers pour les croisières qui embarquent au départ de Gènes (1 million par an).
Investissements dans le maritime
Aujourd’hui le port souhaite vendre sa participation pour financer d’importants investissements sur les infrastructures maritimes. Si la CCI de Gênes pourrait profiter de l’occasion pour monter sa participation dans le capital, l’aéroport de Rome souhaite également se désengager du capital. Il y a un an une première consultation auprès des repreneurs potentiels des parts n’avait pas été jugée concluante. Le prix exigé (30 millions d'euros pour les 60 %) et certaines obligations (notamment une clause sociale prévoyant le maintien des emplois actuels pour dix ans, de même que la réalisation d’un plan d’investissement d’environ 20 millions d'euros) ont découragé les prétendants dans une Italie qui faisait son entrée dans la crise économique. L’aéroport a pourtant des potentialités de développement tant en matière de réseau que pour certains investissements, comme un pôle mulimodal sur la voie ferrée Gênes-Vintimille, en limite de la plate-forme. Le trafic aérien permettrait également un pré-acheminement des passagers pour les croisières qui embarquent au départ de Gènes (1 million par an).