
Près de six semaines après l'échouement du «Rena» à 22 kilomètres au large de Tauranga, les équipes ne relâchent pas leurs efforts. Malgré les vents violents et les fortes pluies qui se sont abattus sur la région en octobre et début novembre, le navire a tenu le coup et ne s'est toujours pas fissuré en deux comme le redoutaient les autorités. Tandis que la météo est redevenue plus clémente, les équipes en ont donc profité pour faire bien avancer les opérations.
Depuis la semaine dernière, elles ont ainsi entrepris la lourde tâche de décharger les 1.200 conteneurs que le «Rena» transportait à son bord et sont parvenues à en retirer 31 en l'espace de trois jours.
Les sauveteurs devraient profiter de la météo clémente tant qu'ils le pourront mais le déchargement de tous les conteneurs qui se trouvent à bord du «Rena» prendra plusieurs mois. Toutefois, la zone d'exclusion nautique a été réduite d'environ 5 kilomètres alors que le risque qu'un conteneur tombe à la mer ou que du pétrole s'échappe a diminué ces derniers jours.
Depuis la semaine dernière, elles ont ainsi entrepris la lourde tâche de décharger les 1.200 conteneurs que le «Rena» transportait à son bord et sont parvenues à en retirer 31 en l'espace de trois jours.
Les sauveteurs devraient profiter de la météo clémente tant qu'ils le pourront mais le déchargement de tous les conteneurs qui se trouvent à bord du «Rena» prendra plusieurs mois. Toutefois, la zone d'exclusion nautique a été réduite d'environ 5 kilomètres alors que le risque qu'un conteneur tombe à la mer ou que du pétrole s'échappe a diminué ces derniers jours.