Le groupe allemand a plutôt bien vécu la période du confinement. Basé à Saint-Quentin-Fallavier, Rhenus France en a profité pour mettre en place de nouvelles manières de travailler.
À quelque chose, malheur est bon. Du moins, c’est ce qui semble ressortir du premier semestre de Rhenus France. Basée à Saint-Quentin-sur-Fallavier, le commissionnaire de transport, filiale française du groupe allemand, a essayé de mettre à profit les différentes contraintes liées au confinement. Mise à part un léger chômage technique dans le sud de Paris, l’activité a continué, voire augmenté. "Nous avons eu plus de difficultés à trouver des manutentionnaires, des préparateurs de commandes, etc.", témoigne cependant Laurent Schuster, PDG de Rhenus Logistics France.
