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Pour la logistique, la demande placée en région lyonnaise a totalisé 320.500 m2, soit une augmentation de 36 % en un an avec 201.200 m2 de transactions sur des bâtiments de première main contre à peine 93.000 m2 en 2010. Sans surprise, le secteur Nord-Isère confirme son leadership avec 176.000 m2 commercialisés en 2011 (+ 31 %) suivi de la plaine de l’Ain et de la rocade Est.
Les principales transactions ont concerné Conforama (42.907 m2) à Saint-Georges-d’Espéranche, Logiris (35.000 m2) à Saint-Vulbas, Transports Morin (31.628 m2) à Saint-Quentin-Fallavier, Feu Vert (29.909 m2) à Saint-Vulbas et Dimotrans (22.500 m2), seule opération en acquisition clés en mains, à Pusignan.
En ce qui concerne l’offre, le stock d’offre immédiate s’établit à 460.000 m2. Elle se concentre sur des bâtiments de seconde main et l’offre de première main ne représente que 65.000 m2. Les espaces vacants totalisent 286.000 m2, soit 62 % de l’offre immédiate dans le Nord-Isère tandis qu’il ne reste que 70.000 m2 sur la rocade Est. Les chantiers ont été moins actifs ces dernières années donc l’offre se resserre. L’offre s’est raréfiée dans la segmentation des plus de 25.000 m2 en classe A pour accueillir les grandes demandes.
Pour la Bourgogne, toute proche de la région Rhône-Alpes, des plates-formes ont été livrées ces quatre dernières années mais elle n’ont pas trouvé preneurs. Les professionnels gardent l’espoir de commercialisation en 2012.
Les principales transactions ont concerné Conforama (42.907 m2) à Saint-Georges-d’Espéranche, Logiris (35.000 m2) à Saint-Vulbas, Transports Morin (31.628 m2) à Saint-Quentin-Fallavier, Feu Vert (29.909 m2) à Saint-Vulbas et Dimotrans (22.500 m2), seule opération en acquisition clés en mains, à Pusignan.
En ce qui concerne l’offre, le stock d’offre immédiate s’établit à 460.000 m2. Elle se concentre sur des bâtiments de seconde main et l’offre de première main ne représente que 65.000 m2. Les espaces vacants totalisent 286.000 m2, soit 62 % de l’offre immédiate dans le Nord-Isère tandis qu’il ne reste que 70.000 m2 sur la rocade Est. Les chantiers ont été moins actifs ces dernières années donc l’offre se resserre. L’offre s’est raréfiée dans la segmentation des plus de 25.000 m2 en classe A pour accueillir les grandes demandes.
Pour la Bourgogne, toute proche de la région Rhône-Alpes, des plates-formes ont été livrées ces quatre dernières années mais elle n’ont pas trouvé preneurs. Les professionnels gardent l’espoir de commercialisation en 2012.
«Le secteur Nord-Isère confirme son leadership»
Les valeurs locatives se sont maintenant stabilisées. Elles oscillent entre 38 et 46 euros le m2 par an dans l’existant et 42 et 46 euros le m2 par an dans le neuf. «Les mesures d’accompagnements se sont généralisées avec par exemple 1,5 ou 2 mois par année d’engagement», observe Thibaut d’Anterroches, directeur régional Rhône-Alpes de CBRE. La tendance reste à la diminution des valeurs locatives sur les bâtiments non occupés depuis un certain temps et de qualité moindre.
Les marchés de la dorsale Lille-Paris-Lyon-Marseille ont concentré 80 % de la demande placée avec plus de 2 millions de m2 de transactions.
Lyon, une place de choix
Pour 2012, les professionnels attendent un renouveau avec des projets en gris principalement situés en zone Est lyonnais. Pour le premier trimestre, le calme domine. Mais Lyon reste une place de choix en France observée par les investisseurs français et étrangers. Le financement des promoteurs et des investisseurs impactera-t-il sur la production nouvelle ?