Grâce notamment aux sorties de céréales, le Grand Port maritime de Rouen (GPMR) a enregistré l’an dernier une nouvelle hausse de son trafic.
Le port de Rouen a vu ses volumes progresser de 1,7 % en 2019, pour atteindre 23,5 millions de tonnes.
Pour la seconde année consécutive, la quantité et la qualité ont été au rendez-vous de la récolte de céréales dans l’hinterland du GPMR. D’où le deuxième score de ces vingt dernières années pour les sorties de grains à 8,28 millions de tonnes (+ 9,3 %). Si ce n’était les conflits sociaux de décembre et janvier, le port de Rouen semblait parti sur les mêmes bases en la matière pour la campagne en cours.
Effondrement des conteneurs
D’une manière générale, les trafics de vracs solides (+ 5,4 %) ont porté les résultats du port l’an dernier malgré une érosion des entrées de charbon et des échanges fluviomaritimes de matériaux de construction.
Pour les vracs liquides, 2019 a été marquée par une parfaite stabilité avec 9,8 millions de tonnes traitées dont 6,5 millions de tonnes de produits pétroliers raffinés (+ 5,4 %).
Pour ce qui est des marchandises diverses, le bilan est nettement moins bon. Les trafics conteneurisés continuent de s’étioler à 100.000 EVP (- 9,7 %) et le cumul des produits papetiers, forestiers ou métallurgiques a reculé à 700.000 tonnes (- 17,2 %).
En revanche, l’activité croisière affiche un large sourire. Honfleur a établi un nouveau record du nombre d’escales (60) et a accueilli près de 44.000 passagers (+ 14 %). Pour sa part, Rouen a accueilli 27 paquebots et 22.341 croisiéristes (+ 14 %).
Du côté de l’activité fluviale, les tonnages transportés se sont élevés à 5,4 millions de tonnes en progression de 2,6 % avec une très forte hausse (+ 60,4 %) des trafics conteneurisés mer-fleuve à 124.000 EVP.
Enfin, avec 1,76 million de tonnes transportées, l’activité ferroviaire a été soutenue (+ 23,3 %), même si aucun train n’a circulé en décembre sur le port de Rouen en raison des conflits sociaux.
Pour la seconde année consécutive, la quantité et la qualité ont été au rendez-vous de la récolte de céréales dans l’hinterland du GPMR. D’où le deuxième score de ces vingt dernières années pour les sorties de grains à 8,28 millions de tonnes (+ 9,3 %). Si ce n’était les conflits sociaux de décembre et janvier, le port de Rouen semblait parti sur les mêmes bases en la matière pour la campagne en cours.
Effondrement des conteneurs
D’une manière générale, les trafics de vracs solides (+ 5,4 %) ont porté les résultats du port l’an dernier malgré une érosion des entrées de charbon et des échanges fluviomaritimes de matériaux de construction.
Pour les vracs liquides, 2019 a été marquée par une parfaite stabilité avec 9,8 millions de tonnes traitées dont 6,5 millions de tonnes de produits pétroliers raffinés (+ 5,4 %).
Pour ce qui est des marchandises diverses, le bilan est nettement moins bon. Les trafics conteneurisés continuent de s’étioler à 100.000 EVP (- 9,7 %) et le cumul des produits papetiers, forestiers ou métallurgiques a reculé à 700.000 tonnes (- 17,2 %).
En revanche, l’activité croisière affiche un large sourire. Honfleur a établi un nouveau record du nombre d’escales (60) et a accueilli près de 44.000 passagers (+ 14 %). Pour sa part, Rouen a accueilli 27 paquebots et 22.341 croisiéristes (+ 14 %).
Du côté de l’activité fluviale, les tonnages transportés se sont élevés à 5,4 millions de tonnes en progression de 2,6 % avec une très forte hausse (+ 60,4 %) des trafics conteneurisés mer-fleuve à 124.000 EVP.
Enfin, avec 1,76 million de tonnes transportées, l’activité ferroviaire a été soutenue (+ 23,3 %), même si aucun train n’a circulé en décembre sur le port de Rouen en raison des conflits sociaux.
