"En réponse à une demande de la police, le ministre de la Défense et la ministre de l'Intérieur ont autorisé des membres des forces armées à monter à bord d'un navire dans la Manche pour assurer la sécurité des vies et du pétrolier qui faisait l'objet d'une suspicion de piraterie", a relaté le ministère de la Défense. Cette intervention de l'armée a mis un terme à une situation de crise qui avait débuté environ dix heures auparavant au large de l'île de Wight. "Les forces armées ont pris le contrôle du bateau et sept personnes ont été arrêtées", selon la même source.
Les 22 membres de l'équipage sont "sains et saufs", a déclaré la police du Hampshire, précisant que l'enquête se poursuivait pour établir les circonstances complètes de l'incident. Selon la police, les forces de l'ordre ont été alertées vers 10 heures le 25 octobre de la situation préoccupante de l'équipage du pétrolier "Nave Andromeda".
Des passagers clandestins se trouvaient à bord du navire et ont menacé l'équipage, selon la même source, qui plus tôt dans la journée avait évoqué des "menaces verbales". Parti de Lagos, la capitale économique du Nigeria, le navire était en route pour Southampton. Une zone d'exclusion autour du navire avait été instaurée depuis l'alerte, pour des raisons de sécurité.
Passagers clandestins
Ben Wallace, le ministre de la Défense, a salué le courage des personnels qui sont intervenus. "Les gens sont en sécurité ce soir grâce à leurs efforts", s'est-il réjoui, tandis que le cabinet d'avocats Tatham & Co, représentant les propriétaires du navire, a assuré à "100 %" qu'il ne s'agissait pas d'un acte de piraterie.
Selon une source proche de la compagnie maritime, la présence de passagers clandestins à bord du navire de 228 mètres battant pavillon du Liberia et transportant 42.000 tonnes de pétrole brut, était connue depuis un moment. C'est quand ils sont devenus violents à l'égard de l'équipage, que celui-ci a dû s'enfermer dans la citadelle, une partie sécurisée du navire, pour se mettre à l'abri.
Les 22 membres de l'équipage sont "sains et saufs", a déclaré la police du Hampshire, précisant que l'enquête se poursuivait pour établir les circonstances complètes de l'incident. Selon la police, les forces de l'ordre ont été alertées vers 10 heures le 25 octobre de la situation préoccupante de l'équipage du pétrolier "Nave Andromeda".
Des passagers clandestins se trouvaient à bord du navire et ont menacé l'équipage, selon la même source, qui plus tôt dans la journée avait évoqué des "menaces verbales". Parti de Lagos, la capitale économique du Nigeria, le navire était en route pour Southampton. Une zone d'exclusion autour du navire avait été instaurée depuis l'alerte, pour des raisons de sécurité.
Passagers clandestins
Ben Wallace, le ministre de la Défense, a salué le courage des personnels qui sont intervenus. "Les gens sont en sécurité ce soir grâce à leurs efforts", s'est-il réjoui, tandis que le cabinet d'avocats Tatham & Co, représentant les propriétaires du navire, a assuré à "100 %" qu'il ne s'agissait pas d'un acte de piraterie.
Selon une source proche de la compagnie maritime, la présence de passagers clandestins à bord du navire de 228 mètres battant pavillon du Liberia et transportant 42.000 tonnes de pétrole brut, était connue depuis un moment. C'est quand ils sont devenus violents à l'égard de l'équipage, que celui-ci a dû s'enfermer dans la citadelle, une partie sécurisée du navire, pour se mettre à l'abri.