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SAS a réduit ses pertes en 2011 mais plonge dans le rouge au quatrième trimestre. En 2011, la compagnie aérienne scandinave a enregistré des pertes de 1,687 milliard de couronnes (190,9 millions d'euros) contre des pertes de 2,218 milliards en 2010. "Nous n'avons pas été en mesure d'enregistrer comme prévu des résultats légèrement positifs pour 2011 en raison de la faillite de Spanair" dont l'impact négatif représente pour SAS 191 millions d'euros, précise le PDG, Rickard Gustafson. La compagnie espagnole Spanair, dans laquelle SAS détenait 10 % du capital, a annoncé fin janvier mettre fin à son activité et présenter une demande de placement en cessation de paiement.
Au quatrième trimestre SAS a enregistré une perte de 2,172 milliards de couronnes contre un bénéfice net part du groupe de 47 millions. Le chiffre d'affaires annuel a affiché une légère hausse de 0,8 % à 41,412 milliards et une baisse de 4,5 % à 10,164 milliards au 4e trimestre.
Une concurrence grandissante
En 2011, la tendance a été celle d'une "concurrence grandissante" conjuguée à un affaiblissement de l'économie et à des prix du carburant qui continuent d'être élevés, note la compagnie. "Pour 2012, l'évaluation de la situation est compliquée en raison d'une tendance à la baisse des PIB, de la poursuite d'une intense concurrence et d'une incertitude concernant les prix du carburant et des taux de change", relève le PDG.
Au quatrième trimestre SAS a enregistré une perte de 2,172 milliards de couronnes contre un bénéfice net part du groupe de 47 millions. Le chiffre d'affaires annuel a affiché une légère hausse de 0,8 % à 41,412 milliards et une baisse de 4,5 % à 10,164 milliards au 4e trimestre.
Une concurrence grandissante
En 2011, la tendance a été celle d'une "concurrence grandissante" conjuguée à un affaiblissement de l'économie et à des prix du carburant qui continuent d'être élevés, note la compagnie. "Pour 2012, l'évaluation de la situation est compliquée en raison d'une tendance à la baisse des PIB, de la poursuite d'une intense concurrence et d'une incertitude concernant les prix du carburant et des taux de change", relève le PDG.