Le chantier naval STX France de Saint-Nazaire a livré au consortium belge Rentel une sous-station électrique destinée à un champ éolien en mer du Nord, réaffirmant son ambition de devenir l'un des acteurs majeurs dans les EMR.
STX France a livré mercredi 10 janvier une sous-station électrique destinée à un champ éolien en mer belge. Ce poste de transformation en mer, centre névralgique du futur parc situé à 40 km des côtes belges, va raccorder 42 éoliennes d'une capacité totale de 309 mégawatts à une station à terre et délivrera de l'électricité à près de 300.000 foyers à partir de la fin de l'année. La sous-station de 1.200 tonnes doit quitter le port de Saint-Nazaire dans la nuit de jeudi 11 à vendredi 12 janvier, transportée dans une barge jusqu'en mer du Nord où elle sera posée sur une fondation installée en septembre dernier. Sa livraison définitive, après installation et mise en service, est prévue dans le courant du premier semestre 2018.
Le directeur général de STX France a salué "une étape importante" dans la "montée en puissance" du chantier naval dans le domaine des énergies marines renouvelables (EMR), activité lancée à Saint-Nazaire en 2010 alors que la construction navale était à la peine. "C'est un domaine dans lequel nous voulons continuer à consacrer une part importante de notre chiffre d'affaires, et même une part qu'on veut croissante, pour un certain nombre de raisons stratégiques, aujourd'hui très bien partagées par nos nouveaux futurs actionnaires (le constructeur naval italien Fincantieri, NDLR)", a souligné Laurent Castaing.
Le directeur général de STX France a salué "une étape importante" dans la "montée en puissance" du chantier naval dans le domaine des énergies marines renouvelables (EMR), activité lancée à Saint-Nazaire en 2010 alors que la construction navale était à la peine. "C'est un domaine dans lequel nous voulons continuer à consacrer une part importante de notre chiffre d'affaires, et même une part qu'on veut croissante, pour un certain nombre de raisons stratégiques, aujourd'hui très bien partagées par nos nouveaux futurs actionnaires (le constructeur naval italien Fincantieri, NDLR)", a souligné Laurent Castaing.
