Après avoir été renflouée, la partie avant du "Wakashio" a été remorquée au large afin d'y être sabordée dans les eaux territoriales mauriciennes. Tractée par le "Boka Expedition" et le "Boka Summit", la proue est arrivée vendredi 21 août sur la zone située à environ 16 milles (30 kilomètres) à l'est des côtes de l'île Maurice, où il a été choisi de la couler plutôt que de la démanteler à terre. Le chef de la mission de sauvetage a assuré que tous les hydrocarbures et les débris susceptibles de s'échapper de cette partie avant avaient été récupérés.
Sur les lieux de l'accident, un plan est en cours d'élaboration afin de dégager la poupe du vraquier du récif sur lequel il s'est échoué le 25 juillet. Cette partie contient approximativement 30 mètres cubes de lubrifiants et de résidus de fuel, selon les sauveteurs. C'est la société néerlandaise Smit Salvage qui est chargée de cette mission et les autorités comptent sur l'amélioration des conditions de mer pour mener à bien cette opération.
Plus de 3.000 tonnes d'hydrocarbures ont fini d'être pompées le 12 août sur les quelque 4.200 tonnes à bord de l'épave (environ 3.800 tonnes de fuel très peu soufré (VLSFO, Very Low Sulphur Fuel Oil), 200 tonnes de diesel et 90 tonnes d'huile, selon son propriétaire et fréteur, le japonais Nagashiki Shipping.
Le P&I Club japonais impliqué
Les efforts des différentes équipes d'intervention présentes sur l'île se concentrent désormais sur la limitation de l'impact environnemental des 800 à 1.000 tonnes de carburant qui se sont échappées des soutes du navire opéré par l'armateur nippon Mitsui OSK Line. Des experts britanniques sont aux côtés des autorités mauriciennes pour l'aider à gérer cette crise en se focalisant sur les côtes étant donné que le risque de fuite est désormais fortement réduit.
Depuis le 19 août, les équipes de deux sociétés s'activent : l'anglaise International Tanker Owners Pollution Federation Ltd et française Le Floch Depollution. Elles sont chargées de nettoyer les sites naturels aux côtés des intervenants publics venus de France, d'Inde, du Japon, des Nations unies et de l'Union européenne ainsi que de la population locale qui a construit près de 4 kilomètres de barrages flottants de fortune. Ces deux sociétés seraient mandatées par le Japan P&I Club, système mutualisé de protection et d'indemnisation des armateurs.
Sur les lieux de l'accident, un plan est en cours d'élaboration afin de dégager la poupe du vraquier du récif sur lequel il s'est échoué le 25 juillet. Cette partie contient approximativement 30 mètres cubes de lubrifiants et de résidus de fuel, selon les sauveteurs. C'est la société néerlandaise Smit Salvage qui est chargée de cette mission et les autorités comptent sur l'amélioration des conditions de mer pour mener à bien cette opération.
Plus de 3.000 tonnes d'hydrocarbures ont fini d'être pompées le 12 août sur les quelque 4.200 tonnes à bord de l'épave (environ 3.800 tonnes de fuel très peu soufré (VLSFO, Very Low Sulphur Fuel Oil), 200 tonnes de diesel et 90 tonnes d'huile, selon son propriétaire et fréteur, le japonais Nagashiki Shipping.
Le P&I Club japonais impliqué
Les efforts des différentes équipes d'intervention présentes sur l'île se concentrent désormais sur la limitation de l'impact environnemental des 800 à 1.000 tonnes de carburant qui se sont échappées des soutes du navire opéré par l'armateur nippon Mitsui OSK Line. Des experts britanniques sont aux côtés des autorités mauriciennes pour l'aider à gérer cette crise en se focalisant sur les côtes étant donné que le risque de fuite est désormais fortement réduit.
Depuis le 19 août, les équipes de deux sociétés s'activent : l'anglaise International Tanker Owners Pollution Federation Ltd et française Le Floch Depollution. Elles sont chargées de nettoyer les sites naturels aux côtés des intervenants publics venus de France, d'Inde, du Japon, des Nations unies et de l'Union européenne ainsi que de la population locale qui a construit près de 4 kilomètres de barrages flottants de fortune. Ces deux sociétés seraient mandatées par le Japan P&I Club, système mutualisé de protection et d'indemnisation des armateurs.