Avec l'inauguration de la seconde phase du terminal industriel polyvalent qui accueillera des minerais, des produits cimentiers et ou agricoles, le port ivoirien de San Pedro connaît une nouvelle extension.
Dans le port ivoirien de San Pedro, le terminal industriel polyvalent (TIPSP), exploité par la société Arise Ports and Logistics, vient d'être inaugurée. "Le nouveau terminal industriel polyvalent, qui propose 250 mètres de longueur de quai et 13 m de tirant d'eau aux navires, représente une opportunité de croissance sans précédent pour la Côte d'Ivoire, ainsi que pour les opérateurs économiques miniers internationaux et nationaux", indique Arise.
"Grâce à ses deux quais en eaux profondes, une superficie de 13,8 hectares et une capacité de stockage de 160.000 tonnes, le nouveau terminal permet aux productions ivoiriennes d'être distribuées en plus grande quantité dans la sous-région", poursuit l'entreprise partenaire de l'État ivoirien.
Ce nouveau terminal, doté de deux grues mobiles, devrait créer 120 emplois directs. Il a pour vocation de gérer les importations et les exportations de clinker, de calcaire, d'engrais ou encore d'huile de palme ou de nickel.
Les secteurs miniers et agricoles ivoiriens pour vocation
Le TIPSP desservira les secteurs miniers et agricoles de la Côte d'Ivoire mais aussi de la Guinée, du Mali et du Burkina Faso voisins.
Le port de San Pedro, le deuxième du pays après celui d'Abidjan, qui possède déjà un terminal conventionnel exploité par Bolloré, a enregistré un trafic de six millions de tonnes de marchandises en 2021.
Créé dans les années 1960, San Pedro revendique également la position de premier port mondial d'exportation du cacao.
L'investissement pour l'extension du port avec la création de ce deuxième terminal s'élève à 173 millions d'euros, dont 90 millions financés par trois banques sud-africaines (Nedbank, Standard Bank et First Rand).
La première phase du TIPSP, dont les travaux avaient été entamés en 2019, est opérationnelle depuis 2021.
Ayant coûté 700 md de francs CFA (1 md EUR), elle avait été réalisée en partenariat entre l'État ivoirien et la société Arise Ports & Logistics.
Cette première partie de l'extension portuaire est équipée de deux grues d'une portée de 54 m et d'une capacité de levage de 1.500 tonnes. Des outillages adaptés à la manutention de vracs générés par des navires de type New Panamax, affichant un tirant d’eau de 14 mètres.
"Grâce à ses deux quais en eaux profondes, une superficie de 13,8 hectares et une capacité de stockage de 160.000 tonnes, le nouveau terminal permet aux productions ivoiriennes d'être distribuées en plus grande quantité dans la sous-région", poursuit l'entreprise partenaire de l'État ivoirien.
Ce nouveau terminal, doté de deux grues mobiles, devrait créer 120 emplois directs. Il a pour vocation de gérer les importations et les exportations de clinker, de calcaire, d'engrais ou encore d'huile de palme ou de nickel.
Les secteurs miniers et agricoles ivoiriens pour vocation
Le TIPSP desservira les secteurs miniers et agricoles de la Côte d'Ivoire mais aussi de la Guinée, du Mali et du Burkina Faso voisins.
Le port de San Pedro, le deuxième du pays après celui d'Abidjan, qui possède déjà un terminal conventionnel exploité par Bolloré, a enregistré un trafic de six millions de tonnes de marchandises en 2021.
Créé dans les années 1960, San Pedro revendique également la position de premier port mondial d'exportation du cacao.
L'investissement pour l'extension du port avec la création de ce deuxième terminal s'élève à 173 millions d'euros, dont 90 millions financés par trois banques sud-africaines (Nedbank, Standard Bank et First Rand).
La première phase du TIPSP, dont les travaux avaient été entamés en 2019, est opérationnelle depuis 2021.
Ayant coûté 700 md de francs CFA (1 md EUR), elle avait été réalisée en partenariat entre l'État ivoirien et la société Arise Ports & Logistics.
Cette première partie de l'extension portuaire est équipée de deux grues d'une portée de 54 m et d'une capacité de levage de 1.500 tonnes. Des outillages adaptés à la manutention de vracs générés par des navires de type New Panamax, affichant un tirant d’eau de 14 mètres.
