Le port de Sète a achevé les dix premiers mois de l'année 2017 sur un trafic global en hausse de 3 %. Une progression portée par la quasi-totalité des filières, selon Olivier Carmès, le directeur du port, qui affiche toutefois une certaine prudence pour ses objectifs à l'horizon 2020.
En Occitanie, le port de Sète devrait achever l'année sur un trafic de 3,9 millions de tonnes, contre 3,8 millions de tonnes en 2016. Selon le directeur du port de Sète, Olivier Carmès, ce chiffre constitue un record. Il note que le trafic du logisticien turc Ekol a progressé. Le dirigeant du port occitan indique que, contrairement à 2016 où il avait interrompu son activité pendant six semaines, il a tourné à plein cette année.
Le port héraultais a enregistré une baisse de trafic dans le diester mais les graines, les tourteaux et le charbon sont autant de filières qui ont montré une tendance positive depuis janvier. De même que les véhicules neufs qui se sont chiffrés à 85.000 unités au cours des dix premiers mois de 2017 contre 75.000 à fin octobre 2016.
La filière bétail a connu en revanche une mauvaise année, en raison, selon Olivier Carmès, d'un recul sur Israël, l'Algérie et la Turquie.
Contrat signé avec Pullmantur
Dans le secteur du passager, le directeur de l'établissement portuaire indique que le port héraultais est reparti cette année à la hausse après deux années de baisse. Dans le domaine de la ligne régulière, l'armateur italien Grandi Navi Veloci (GNV) est passé en un an de 120 à 170 escales. Il table sur une hausse de 5 à 8 % pour la fin de l'année.
La filière bétail a connu en revanche une mauvaise année, en raison, selon Olivier Carmès, d'un recul sur Israël, l'Algérie et la Turquie.
Contrat signé avec Pullmantur
Dans le secteur du passager, le directeur de l'établissement portuaire indique que le port héraultais est reparti cette année à la hausse après deux années de baisse. Dans le domaine de la ligne régulière, l'armateur italien Grandi Navi Veloci (GNV) est passé en un an de 120 à 170 escales. Il table sur une hausse de 5 à 8 % pour la fin de l'année.
