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La fédération des entreprises de Transport et de logistique de France (TLF), qui se plaint de l'absence des questions liées au secteur dans les débats de la campagne électorale, formule de nouvelles propositions dans le cadre de sa plate-forme présidentielle.
Pour TLF, l'une des deux priorités est la restauration de la compétitivité des entreprises. Pour cela, la fédération demande que soit répercutée intégralement la future taxe poids lourds et que soit harmonisée la réglementation européenne, sociale et fiscale dans le sens d'un allègement du coût du travail. Concernant ce dernier point, TLF approuve la TVA sociale. Elle demande aussi une augmentation de la CSG, «à l’assiette plus large que la TVA», qui «permettrait de financer la baisse des cotisations sur les salaires, avec un effet positif sur les revenus des collaborateurs des entreprises».
L'autre moyen nécessaire, selon TLF, est le «renforcement de l’attractivité du site France». Pour «restaurer une activité portuaire, aéroportuaire et logistique susceptible d’attirer de nouveaux flux sur notre territoire», l'organisation demande une amélioration des relations entreprises-administration des douanes, «en inversant la charge de la preuve comme aux Pays-Bas, en Belgique ou en Allemagne» ainsi que la création pour les entreprises d’un «crédit confiance», notamment pour celles qui ont investi pour être certifiées OEA.
Outre une harmonisation des procédures douanières communautaires, TLF milite pour une dématérialisation et un allègement des formalités pour les entreprises «matures». Elle demande aussi que soit reconnue l’importance des investissements privés dans les technologies de l’information et de la communication, notamment en matière de mutualisation des moyens.
Enfin, TLF réclame un ministère dédié pour le transport, après une mise sous l'égide de l’Environnement, «ce qui semblait entacher le secteur de suspicion» alors que la fédération estime cette dimension «déjà pleinement intégrée».
Pour TLF, l'une des deux priorités est la restauration de la compétitivité des entreprises. Pour cela, la fédération demande que soit répercutée intégralement la future taxe poids lourds et que soit harmonisée la réglementation européenne, sociale et fiscale dans le sens d'un allègement du coût du travail. Concernant ce dernier point, TLF approuve la TVA sociale. Elle demande aussi une augmentation de la CSG, «à l’assiette plus large que la TVA», qui «permettrait de financer la baisse des cotisations sur les salaires, avec un effet positif sur les revenus des collaborateurs des entreprises».
L'autre moyen nécessaire, selon TLF, est le «renforcement de l’attractivité du site France». Pour «restaurer une activité portuaire, aéroportuaire et logistique susceptible d’attirer de nouveaux flux sur notre territoire», l'organisation demande une amélioration des relations entreprises-administration des douanes, «en inversant la charge de la preuve comme aux Pays-Bas, en Belgique ou en Allemagne» ainsi que la création pour les entreprises d’un «crédit confiance», notamment pour celles qui ont investi pour être certifiées OEA.
Outre une harmonisation des procédures douanières communautaires, TLF milite pour une dématérialisation et un allègement des formalités pour les entreprises «matures». Elle demande aussi que soit reconnue l’importance des investissements privés dans les technologies de l’information et de la communication, notamment en matière de mutualisation des moyens.
Enfin, TLF réclame un ministère dédié pour le transport, après une mise sous l'égide de l’Environnement, «ce qui semblait entacher le secteur de suspicion» alors que la fédération estime cette dimension «déjà pleinement intégrée».