Autour des mêmes thèmes
-
Première ligne régulière tout cargo entre Marseille et Alger
-
Grèves simultanées à la SNCF et chez Air France
-
Bourbon espère trouver un accord avec ses créanciers avant la fin de l'année
-
Marfret : le "Saumaty" entre en scène sur le service Algérie dès la mi-mai
-
Au Mozambique, le développement ferroviaire à toute vapeur
Tap Portugal réduit ses pertes au premier semestre et vise un retour aux bénéfices en 2016. Tap compte sur les vacances d'été et les fêtes de Noël pour repasser dans le vert sur l'ensemble de l'année, selon un rapport interne cité par le quotidien "Jornal de Negocios" lundi 22 août. L'entreprise avait publié une perte de 99 millions d'euros en 2015.
Plus de 10.000 salariés
Au premier semestre, la compagnie aérienne a réalisé un chiffre d'affaires de 985,2 millions d'euros, en baisse de 2,3 % par rapport aux recettes de 1,008 milliard d'euros engrangées un an auparavant. Mais cette diminution a été compensée par la réduction des coûts opérationnels. Une baisse des frais de combustible a notamment permis à la compagnie d'économiser 155 millions d'euros. Tap, qui compte plus de 10.000 salariés, s'était retrouvé en 2015 à court de trésorerie. Fin juin 2016, sa dette s'élevait encore à 806 millions d'euros, malgré une baisse de 9,1 % depuis décembre.
Après avoir privatisé Tap à 61 % l'an dernier sous l’impulsion du gouvernement de droite de l'époque, l'État a annoncé en début d'année remonter à 50 % du capital après l'arrivée au pouvoir, en novembre, d'un exécutif socialiste. Le consortium Atlantic Gateway, formé par David Neeleman, PDG de la compagnie aérienne brésilienne Azul, et son associé portugais Humberto Pedrosa, a accepté de se contenter de 45 à 50 % du capital, en fonction de l'option d'achat de 5 % réservée aux salariés de Tap. L'État portugais a participé en juin à hauteur de 30 millions d'euros à un emprunt obligataire de 120 millions d'euros de la compagnie aérienne.
Plus de 10.000 salariés
Au premier semestre, la compagnie aérienne a réalisé un chiffre d'affaires de 985,2 millions d'euros, en baisse de 2,3 % par rapport aux recettes de 1,008 milliard d'euros engrangées un an auparavant. Mais cette diminution a été compensée par la réduction des coûts opérationnels. Une baisse des frais de combustible a notamment permis à la compagnie d'économiser 155 millions d'euros. Tap, qui compte plus de 10.000 salariés, s'était retrouvé en 2015 à court de trésorerie. Fin juin 2016, sa dette s'élevait encore à 806 millions d'euros, malgré une baisse de 9,1 % depuis décembre.
Après avoir privatisé Tap à 61 % l'an dernier sous l’impulsion du gouvernement de droite de l'époque, l'État a annoncé en début d'année remonter à 50 % du capital après l'arrivée au pouvoir, en novembre, d'un exécutif socialiste. Le consortium Atlantic Gateway, formé par David Neeleman, PDG de la compagnie aérienne brésilienne Azul, et son associé portugais Humberto Pedrosa, a accepté de se contenter de 45 à 50 % du capital, en fonction de l'option d'achat de 5 % réservée aux salariés de Tap. L'État portugais a participé en juin à hauteur de 30 millions d'euros à un emprunt obligataire de 120 millions d'euros de la compagnie aérienne.