"Aux environs de 3 heures, le navire 'Elka Aristotle', battant pavillon grec a été attaqué à 10 nautiques, soit environ 18 km du port de Lomé par des individus armés", a indiqué la préfecture maritime.
"La garde armée qui avait été embarquée à bord de ce navire a tenté de repousser les brigands" mais ces derniers "ont réussi à s'enfuir en prenant quatre otages parmi les membres d’équipage : deux Philippins, un Grec et un Géorgien", précise-t-elle.
Un membre de l'escorte armée a par ailleurs été blessé par balle, a ajouté la marine togolaise sans préciser sa nationalité.
"Alertée, la marine togolaise a immédiatement dépêché un patrouilleur et une vedette rapide sur zone" à leur recherche avec l'appui d'avions français et togolais qui survolent en ce moment la zone.
Une enquête a été ouverte par la gendarmerie maritime sous la direction du Parquet de Lomé.
"L'exercice naval Grand African Nemo se déroule depuis le 28 octobre"
Les garde-côtes grecs ont confirmé lundi l'attaque "par des hommes armés tôt ce matin alors qu'il était amarré à Lomé, au Togo", précisant que "quatre des vingt-quatre membres de son équipage ont été enlevés. L'un est Grec, deux Philippins et l'autre Géorgien".
Cet acte de piraterie maritime intervient au lendemain de l'attaque d'un navire norvégien samedi en rade du port de Cotonou, au Bénin, durant laquelle neuf marins philippins ont été enlevés.
Les deux attaques ont eu lieu alors que se déroule depuis le 28 octobre l'exercice naval Grand African Nemo, dans le cadre d'une coopération entre la marine française et quatorze pays africains destinée à lutter contre la piraterie maritime et d'autre trafics dans le golfe de Guinée.
Les attaques de navires et les enlèvements contre rançon sont relativement fréquents, bien que le plus souvent concentrés le long de la côte nigériane, d'où sont originaires les pirates.
Ils détournent parfois les navires pendant plusieurs jours, le temps de piller les soutes, et demandent d'importantes rançons avant de libérer l'équipage.
La piraterie dans le golfe de Guinée, qui abrite les deux principaux pays producteurs d'or noir d'Afrique subsaharienne, le Nigeria et l'Angola, a sérieusement perturbé cette voie de transport maritime international essentielle au continent, et coûté des milliards de dollars à l'économie mondiale.
"La garde armée qui avait été embarquée à bord de ce navire a tenté de repousser les brigands" mais ces derniers "ont réussi à s'enfuir en prenant quatre otages parmi les membres d’équipage : deux Philippins, un Grec et un Géorgien", précise-t-elle.
Un membre de l'escorte armée a par ailleurs été blessé par balle, a ajouté la marine togolaise sans préciser sa nationalité.
"Alertée, la marine togolaise a immédiatement dépêché un patrouilleur et une vedette rapide sur zone" à leur recherche avec l'appui d'avions français et togolais qui survolent en ce moment la zone.
Une enquête a été ouverte par la gendarmerie maritime sous la direction du Parquet de Lomé.
"L'exercice naval Grand African Nemo se déroule depuis le 28 octobre"
Les garde-côtes grecs ont confirmé lundi l'attaque "par des hommes armés tôt ce matin alors qu'il était amarré à Lomé, au Togo", précisant que "quatre des vingt-quatre membres de son équipage ont été enlevés. L'un est Grec, deux Philippins et l'autre Géorgien".
Cet acte de piraterie maritime intervient au lendemain de l'attaque d'un navire norvégien samedi en rade du port de Cotonou, au Bénin, durant laquelle neuf marins philippins ont été enlevés.
Les deux attaques ont eu lieu alors que se déroule depuis le 28 octobre l'exercice naval Grand African Nemo, dans le cadre d'une coopération entre la marine française et quatorze pays africains destinée à lutter contre la piraterie maritime et d'autre trafics dans le golfe de Guinée.
Les attaques de navires et les enlèvements contre rançon sont relativement fréquents, bien que le plus souvent concentrés le long de la côte nigériane, d'où sont originaires les pirates.
Ils détournent parfois les navires pendant plusieurs jours, le temps de piller les soutes, et demandent d'importantes rançons avant de libérer l'équipage.
La piraterie dans le golfe de Guinée, qui abrite les deux principaux pays producteurs d'or noir d'Afrique subsaharienne, le Nigeria et l'Angola, a sérieusement perturbé cette voie de transport maritime international essentielle au continent, et coûté des milliards de dollars à l'économie mondiale.