
© RFF/Capa/Stéphane Zaubitzer (Toma)
Les grands projets d'infrastructures seront classés en trois catégories. "La commission n'a pas examiné les projets engagés", a déclaré Philippe Duron, député-maire de Caen qui préside la commission Mobilité 21, chargée par le gouvernement de rééchelonner dans le temps les projets inscrits dans le Schéma national des infrastructures de transports (Snit), et non finançables en l'état.
Conclusions au printemps
"Pour ces projets, l'ordonnancement dans le temps ne se pose plus", a indiqué M. Duron qui est entouré par cinq parlementaires et quatre personnalités qualifiées au sein de la commission qui rendra ses conclusions au printemps. Parmi ces projets figurent quatre lignes à grande vitesse (fin de la LGV Est, Tours-Bordeaux, Le Mans-Rennes et Nîmes-Montpellier) qui doivent être mises en service en 2016 et 2017. "Il en va de même pour les projets ayant fait l'objet d'un engagement international comme le projet de LGV Lyon-Turin", a ajouté M. Duron. Ce pourrait aussi être le cas du projet de Canal Seine-Nord Europe, voie d'eau qui doit permettre aux péniches de grande taille de relier le bassin de la Seine aux 20.000 km du réseau grand gabarit d'Europe du Nord. M. Duron a indiqué avoir rencontré à Bruxelles la Direction Mobilité et transports de la commission européenne qui s'est dite "prête à soutenir financièrement un certain nombre de projets français". Il a indiqué que l'amélioration des conditions de desserte et de transit des principaux ports français et notamment Le Havre-Rouen, Marseille et Dunkerque devait "être considérée comme une priorité". Un peu plus de soixante-dix projets sont soumis à l'examen de Mobilité 21. Il a précisé que les priorités devaient être définies en tenant compte des perspectives des finances publiques, des objectifs d'amélioration des transports, d'égalité territoriale, de rénovation des réseaux existants et de soutien à la compétitivité économique du pays. Il a précisé que l'existence d'une déclaration d'utilité publique (DUP) ne constituait pas un engagement suffisant pour la réalisation d'un projet.
Conclusions au printemps
"Pour ces projets, l'ordonnancement dans le temps ne se pose plus", a indiqué M. Duron qui est entouré par cinq parlementaires et quatre personnalités qualifiées au sein de la commission qui rendra ses conclusions au printemps. Parmi ces projets figurent quatre lignes à grande vitesse (fin de la LGV Est, Tours-Bordeaux, Le Mans-Rennes et Nîmes-Montpellier) qui doivent être mises en service en 2016 et 2017. "Il en va de même pour les projets ayant fait l'objet d'un engagement international comme le projet de LGV Lyon-Turin", a ajouté M. Duron. Ce pourrait aussi être le cas du projet de Canal Seine-Nord Europe, voie d'eau qui doit permettre aux péniches de grande taille de relier le bassin de la Seine aux 20.000 km du réseau grand gabarit d'Europe du Nord. M. Duron a indiqué avoir rencontré à Bruxelles la Direction Mobilité et transports de la commission européenne qui s'est dite "prête à soutenir financièrement un certain nombre de projets français". Il a indiqué que l'amélioration des conditions de desserte et de transit des principaux ports français et notamment Le Havre-Rouen, Marseille et Dunkerque devait "être considérée comme une priorité". Un peu plus de soixante-dix projets sont soumis à l'examen de Mobilité 21. Il a précisé que les priorités devaient être définies en tenant compte des perspectives des finances publiques, des objectifs d'amélioration des transports, d'égalité territoriale, de rénovation des réseaux existants et de soutien à la compétitivité économique du pays. Il a précisé que l'existence d'une déclaration d'utilité publique (DUP) ne constituait pas un engagement suffisant pour la réalisation d'un projet.