Le décès d'un migrant mardi 7 juillet dans le tunnel sous la Manche s'inscrit dans un contexte de recrudescence des tentatives pour rallier la Grande-Bretagne.
Une quarantaine de personnes, originaires d'Afrique noire, ont tenté en même temps que la victime de traverser la Manche en se risquant dans le tunnel, avant d'être évacués au terme de l'incident. Les tentatives d'intrusion se multiplient depuis des semaines sur le site sécurisé d'Eurotunnel, mais la plupart du temps, les migrants sont repérés par les forces de l'ordre avant le départ des convois.
Dans la nuit du 3 au 4 juillet, ce sont quelque 150 migrants qui ont tenté de s'introduire sur les quais d'embarquement, avant d'être repoussés à l'extérieur. "Actuellement, effectivement, ils se reportent beaucoup sur le tunnel sous la Manche. C'est pour ça qu'on a des forces en renfort le soir, et c'est vrai qu'on a plus d'intrusions que d'habitude. On se concentre sur la sécurité, pour que les navettes puissent partir", selon le directeur zonal de la police aux frontières (PAF), Patricio Martin.
Il s'agit du premier décès de ce type à l'intérieur même du tunnel depuis la prise de fonction du fonctionnaire il y a trois ans, mais il y a eu quelques précédents dans le passé. Le 5 avril 2009, un clandestin probablement tombé d'un camion avait été découvert mort dans le tunnel, à 8 km de l'entrée française. Le 26 juin dernier, un Éthiopien avait trouvé la mort, aux abords du tunnel, en tentant de monter dans une navette. L'homme avait été projeté sur un pylône en béton.
Une quarantaine de personnes, originaires d'Afrique noire, ont tenté en même temps que la victime de traverser la Manche en se risquant dans le tunnel, avant d'être évacués au terme de l'incident. Les tentatives d'intrusion se multiplient depuis des semaines sur le site sécurisé d'Eurotunnel, mais la plupart du temps, les migrants sont repérés par les forces de l'ordre avant le départ des convois.
Dans la nuit du 3 au 4 juillet, ce sont quelque 150 migrants qui ont tenté de s'introduire sur les quais d'embarquement, avant d'être repoussés à l'extérieur. "Actuellement, effectivement, ils se reportent beaucoup sur le tunnel sous la Manche. C'est pour ça qu'on a des forces en renfort le soir, et c'est vrai qu'on a plus d'intrusions que d'habitude. On se concentre sur la sécurité, pour que les navettes puissent partir", selon le directeur zonal de la police aux frontières (PAF), Patricio Martin.
Il s'agit du premier décès de ce type à l'intérieur même du tunnel depuis la prise de fonction du fonctionnaire il y a trois ans, mais il y a eu quelques précédents dans le passé. Le 5 avril 2009, un clandestin probablement tombé d'un camion avait été découvert mort dans le tunnel, à 8 km de l'entrée française. Le 26 juin dernier, un Éthiopien avait trouvé la mort, aux abords du tunnel, en tentant de monter dans une navette. L'homme avait été projeté sur un pylône en béton.
