
© Jijel
Le Qatar et l'Algérie vont créer un complexe sidérurgique sur la côte algérienne. L'accord a été ratifié par la commission bilatérale algéro-qatarie, réunie dans la capitale algérienne en présence des ministres algériens de l'Industrie, Cherif Rahmani, et des Finances, Karim Djoudi, ainsi que du ministre qatari de l’Économie et des Finances, Youcef Hussein Kamal.
Pour l'industrie du rail
La construction de l'usine à Bellara, dans la préfecture de Jijel à quelque 350 km à l'est d'Alger, va démarrer l'an prochain, et la production devrait commencer en 2017. Ce complexe, d'un coût de 2 milliards de dollars, devrait produire dans un premier temps quelque 2 millions de tonnes d'acier par an. À terme, la production annuelle devrait atteindre près de 5 millions de tonnes. Le projet prévoit la création de quelque 2.000 emplois directs. L'usine fabriquera notamment de l'acier plat et des aciers spéciaux destinés entre autres à l'industrie du rail en Algérie. Le pays importe chaque année l'équivalent de 10 milliards de dollars de produits sidérurgiques, ce qui représente 20 % de sa facture des importations.
Lors de cette réunion, le ministre qatari a annoncé que l'émir du Qatar, Cheikh Hamad Ben Khalifa Al-Thani, se rendrait en Algérie durant la première quinzaine de décembre, pour une visite officielle marquée par la signature de sept accords de partenariat dans l'énergie, les mines et l'industrie. Le ministre qatari a également appelé Volkswagen à s'installer en Algérie. Des discussions entamées à ce sujet il y a quelques mois n'ont donné aucun résultat. "Nous encourageons la société allemande Volkswagen, dans laquelle le Qatar possède des actions, à installer une usine de voitures en Algérie", a-t-il déclaré.
Pour l'industrie du rail
La construction de l'usine à Bellara, dans la préfecture de Jijel à quelque 350 km à l'est d'Alger, va démarrer l'an prochain, et la production devrait commencer en 2017. Ce complexe, d'un coût de 2 milliards de dollars, devrait produire dans un premier temps quelque 2 millions de tonnes d'acier par an. À terme, la production annuelle devrait atteindre près de 5 millions de tonnes. Le projet prévoit la création de quelque 2.000 emplois directs. L'usine fabriquera notamment de l'acier plat et des aciers spéciaux destinés entre autres à l'industrie du rail en Algérie. Le pays importe chaque année l'équivalent de 10 milliards de dollars de produits sidérurgiques, ce qui représente 20 % de sa facture des importations.
Lors de cette réunion, le ministre qatari a annoncé que l'émir du Qatar, Cheikh Hamad Ben Khalifa Al-Thani, se rendrait en Algérie durant la première quinzaine de décembre, pour une visite officielle marquée par la signature de sept accords de partenariat dans l'énergie, les mines et l'industrie. Le ministre qatari a également appelé Volkswagen à s'installer en Algérie. Des discussions entamées à ce sujet il y a quelques mois n'ont donné aucun résultat. "Nous encourageons la société allemande Volkswagen, dans laquelle le Qatar possède des actions, à installer une usine de voitures en Algérie", a-t-il déclaré.