
Maersk McKinney-Möller, président fondateur de Maersk © Maersk
Le premier navire de la série des vingt unités d'une capacité de 18.270 EVP commandés en deux phases par Maersk Line en février et juin 2011 au constructeur naval coréen Daewoo (DSME) portera le nom de Maersk McKinney-Möller, du nom du président fondateur du groupe disparu en 2012 à l'âge de 98 ans.
Ces porte-conteneurs, qui font partie de la catégorie des "EEE", seront les plus grands navires cellularisés au monde. Selon Alphaliner, ils disposeront en effet d'une capacité de 14 % supérieure aux unités les plus récentes de CMA CGM (le "Marco Polo", à titre d'exemple), qui affichent 16.000 EVP, et de 18 % supérieures à celles de type "E" de l'armateur danois.
Quatre porte-conteneurs faisant partie des unités commandées à DSME devraient être livrés cette année. Les seize autres le seront entre 2014 et 2015, à un rythme moyen d'un par mois.
En attendant, l'armateur prend livraison de navires d'une capacité beaucoup plus modeste. Le numéro un mondial du secteur de la ligne régulière conteneurisée dit avoir tiré profit en 2012 de l'amélioration des taux de fret et de la baisse du prix du baril. Le coût d'exploitation unitaire par conteneur s'est amélioré l'an dernier de 1,7 % par rapport à 2011.
Ces porte-conteneurs, qui font partie de la catégorie des "EEE", seront les plus grands navires cellularisés au monde. Selon Alphaliner, ils disposeront en effet d'une capacité de 14 % supérieure aux unités les plus récentes de CMA CGM (le "Marco Polo", à titre d'exemple), qui affichent 16.000 EVP, et de 18 % supérieures à celles de type "E" de l'armateur danois.
Quatre porte-conteneurs faisant partie des unités commandées à DSME devraient être livrés cette année. Les seize autres le seront entre 2014 et 2015, à un rythme moyen d'un par mois.
En attendant, l'armateur prend livraison de navires d'une capacité beaucoup plus modeste. Le numéro un mondial du secteur de la ligne régulière conteneurisée dit avoir tiré profit en 2012 de l'amélioration des taux de fret et de la baisse du prix du baril. Le coût d'exploitation unitaire par conteneur s'est amélioré l'an dernier de 1,7 % par rapport à 2011.