Après six mois, le bilan du port départemental de Fécamp se situerait plutôt dans la fourchette basse de son potentiel. Son trafic général recule de 2,3 % à 116.600 tonnes, avec des résultats très contrastés selon les trafics.
Véritable baromètre du port cauchois et représentant en moyenne près de la moitié de ses tonnages, les entrées de granulats marins subissent sans surprise la méforme persistante du BTP. Ballastières Mercier (groupe Lhotellier) et Sodégrave, les deux opérateurs de la place n’ont fait rentrer que 45.560 tonnes (-7,5 %) de produits prélevés en Manche. Parmi les autres importations classiques du port, les bois sciés de Scandinavie ont complètement disparu des radars, les pâtes à papier se portent bien (28.130 tonnes, + 5 %), la néphéline encore mieux (+ 50 %) et les huiles destinées au groupe Olvéa ont doublé. Côté exportations, les panneaux de particules produits par l’usine Linex pour le Royaume-Uni sont très stables (19.000 tonnes) mais très loin de leurs scores d’il y a quinze ans.
Véritable baromètre du port cauchois et représentant en moyenne près de la moitié de ses tonnages, les entrées de granulats marins subissent sans surprise la méforme persistante du BTP. Ballastières Mercier (groupe Lhotellier) et Sodégrave, les deux opérateurs de la place n’ont fait rentrer que 45.560 tonnes (-7,5 %) de produits prélevés en Manche. Parmi les autres importations classiques du port, les bois sciés de Scandinavie ont complètement disparu des radars, les pâtes à papier se portent bien (28.130 tonnes, + 5 %), la néphéline encore mieux (+ 50 %) et les huiles destinées au groupe Olvéa ont doublé. Côté exportations, les panneaux de particules produits par l’usine Linex pour le Royaume-Uni sont très stables (19.000 tonnes) mais très loin de leurs scores d’il y a quinze ans.
