Une opération de contrôle du transport routier de marchandises menée à l’échelle nationale a mis en évidence un fort taux d'infractions, en particulier à la législation sociale.
Lundi 30 septembre, les autorités françaises ont mené une nouvelle campagne à grande échelle de contrôles routiers.
Afin de vérifier "le respect de la concurrence loyale" par les transporteurs routiers de marchandises qui sillonnent l'Hexagone, plus de 200 agents ont été déployés sur quelque 60 points de contrôle répartis dans la majorité des régions métropolitaines, "sur les axes structurants du territoire", selon le ministère de la Transition écologique et solidaire. Et la pêche a été bonne, avec près d'un tiers des véhicules contrôlés en infraction.
1.000 véhicules contrôlés
Contrôleurs des transports terrestres, forces de l'ordre, inspecteurs du travail et contrôleurs de l'Urssaf ont visé les infractions sur les sujets désignés comme prioritaires pour le gouvernement en matière de contrôle des transports routiers.
La thématique sociale a été prépondérante avec la recherche de cabotage irrégulier sur le territoire français, de fraude à la réglementation sociale européenne (temps de conduite et de repos des conducteurs), ainsi que le fraude en matière de détachement et de travail dissimulé. Sur le plan technique, les dispositifs anti-pollution ont été ciblés, de même que les surcharges.
Les contrôles se sont concentrés sur les grands axes de circulation et les zones de repos et ont particulièrement les visé les immatriculations étrangères.
Afin de vérifier "le respect de la concurrence loyale" par les transporteurs routiers de marchandises qui sillonnent l'Hexagone, plus de 200 agents ont été déployés sur quelque 60 points de contrôle répartis dans la majorité des régions métropolitaines, "sur les axes structurants du territoire", selon le ministère de la Transition écologique et solidaire. Et la pêche a été bonne, avec près d'un tiers des véhicules contrôlés en infraction.
1.000 véhicules contrôlés
Contrôleurs des transports terrestres, forces de l'ordre, inspecteurs du travail et contrôleurs de l'Urssaf ont visé les infractions sur les sujets désignés comme prioritaires pour le gouvernement en matière de contrôle des transports routiers.
La thématique sociale a été prépondérante avec la recherche de cabotage irrégulier sur le territoire français, de fraude à la réglementation sociale européenne (temps de conduite et de repos des conducteurs), ainsi que le fraude en matière de détachement et de travail dissimulé. Sur le plan technique, les dispositifs anti-pollution ont été ciblés, de même que les surcharges.
Les contrôles se sont concentrés sur les grands axes de circulation et les zones de repos et ont particulièrement les visé les immatriculations étrangères.