United Continental, maison mère d'United Airlines, a confirmé son principal objectif financier pour 2019, après avoir enregistré un bond de son bénéfice net au premier trimestre en dépit de l'interdiction de vol frappant le 737 MAX, un avion qu'il exploite.
Malgré l'immobilisation de ses 14 B737 MAX, United Airlines a affirmé mardi 16 avril anticiper toujours un bénéfice par action ajusté, référence en Amérique du Nord, compris entre 10 et 12 dollars cette année. Le haut de la fourchette est au-dessus des attentes des analystes financiers, qui sont en moyenne de 11,13 dollars.
Le chiffre d'affaires progresse de 6,2 %
En 2020, la rentabilité devrait encore s'améliorer puisque United espère toujours gagner entre 11 et 13 dollars par action, contre 12,12 dollars anticipés par les marchés. Ces prévisions étaient bien accueillies à Wall Street où le titre United gagnait 2,89 % vers 21 h 10 dans les échanges électroniques suivant la clôture de la séance. Outre le maintien de ces objectifs financiers, les investisseurs, inquiets de l'impact des difficultés du 737 MAX sur les compagnies exploitant cet avion, semblaient également rassurés sur la rentabilité à court terme de United.
Le bénéfice net a été plus que doublé au premier trimestre, ressortant à 292 millions de dollars, ce qui s'est traduit par un bénéfice par action ajusté de 1,15 dollar supérieur au 0,94 dollar espéré. Le chiffre d'affaires a progressé de 6,2 % à 9,6 milliards de dollars, quasi conforme aux attentes (9,61 milliards), tiré par une hausse de 1,1 % sur un an du Prasm (revenu par passager par siège disponible et par mile parcouru).
United a profité de sa stratégie d'augmenter les prix des billets d'avions et d'ajouter des vols sur ses principaux hubs. Ce choix lui a permis de limiter les dégâts causés par la paralysie partielle des services fédéraux américains en début d'année (Shutdown) et un hiver rugueux ayant entraîné l'annulation de vols dans certains aéroports aux États-Unis.
Le chiffre d'affaires progresse de 6,2 %
En 2020, la rentabilité devrait encore s'améliorer puisque United espère toujours gagner entre 11 et 13 dollars par action, contre 12,12 dollars anticipés par les marchés. Ces prévisions étaient bien accueillies à Wall Street où le titre United gagnait 2,89 % vers 21 h 10 dans les échanges électroniques suivant la clôture de la séance. Outre le maintien de ces objectifs financiers, les investisseurs, inquiets de l'impact des difficultés du 737 MAX sur les compagnies exploitant cet avion, semblaient également rassurés sur la rentabilité à court terme de United.
Le bénéfice net a été plus que doublé au premier trimestre, ressortant à 292 millions de dollars, ce qui s'est traduit par un bénéfice par action ajusté de 1,15 dollar supérieur au 0,94 dollar espéré. Le chiffre d'affaires a progressé de 6,2 % à 9,6 milliards de dollars, quasi conforme aux attentes (9,61 milliards), tiré par une hausse de 1,1 % sur un an du Prasm (revenu par passager par siège disponible et par mile parcouru).
United a profité de sa stratégie d'augmenter les prix des billets d'avions et d'ajouter des vols sur ses principaux hubs. Ce choix lui a permis de limiter les dégâts causés par la paralysie partielle des services fédéraux américains en début d'année (Shutdown) et un hiver rugueux ayant entraîné l'annulation de vols dans certains aéroports aux États-Unis.
