United Continental, holding de United Airlines, a annoncé des résultats trimestriels meilleurs que prévu, en dépit d'une hausse des coûts dopée par le rebond des prix du kérosène.
Lors du premier trimestre, le bénéfice net de United Continental a bondi de 48,5 % à 147 millions de dollars. Cela s'est traduit pour maison mère de United Airlines par un bénéfice par action ajusté, référence en Amérique du nord, de 50 cents contre 38 cents attendus en moyenne par les analystes financiers.
Le chiffre d'affaires a, pour sa part, progressé de 7,2 % à 9,03 milliards de dollars, contre 8,43 milliards anticipés.
Le PRASM (revenu par passager par siège disponible et par mile parcouru) a augmenté de 4,3 %, alors qu'United ne prévoyait qu'une hausse de 2 %. La compagnie aérienne a également ajusté ses objectifs en termes de capacités, ne prévoyant plus qu'une augmentation de 4,5 à 5,5 % contre de 4 à 6 % précédemment.
Baisse des prix
Une hausse des capacités se traduit généralement par une baisse des prix des billets d'avions car le rapport entre l'offre et la demande penche en défaveur de la première, ce qu'a d'ailleurs confirmé le groupe déjà engagé dans une politique de baisse des prix pour rivaliser avec les compagnies low-cost américaines.
Le transporteur, qui est sous la pression de marchés financiers qui lui demandent de faire des économies, a encore du pain sur la planche dans ce domaine. Lors des trois derniers mois, les dépenses opérationnelles ont augmenté de 8 %, principalement en raison d'une hausse des coûts fixes – salaires et kérosène. La facture de carburant a grimpé de 26 % en un an, en raison d'un rebond des prix du pétrole.
Le chiffre d'affaires a, pour sa part, progressé de 7,2 % à 9,03 milliards de dollars, contre 8,43 milliards anticipés.
Le PRASM (revenu par passager par siège disponible et par mile parcouru) a augmenté de 4,3 %, alors qu'United ne prévoyait qu'une hausse de 2 %. La compagnie aérienne a également ajusté ses objectifs en termes de capacités, ne prévoyant plus qu'une augmentation de 4,5 à 5,5 % contre de 4 à 6 % précédemment.
Baisse des prix
Une hausse des capacités se traduit généralement par une baisse des prix des billets d'avions car le rapport entre l'offre et la demande penche en défaveur de la première, ce qu'a d'ailleurs confirmé le groupe déjà engagé dans une politique de baisse des prix pour rivaliser avec les compagnies low-cost américaines.
Le transporteur, qui est sous la pression de marchés financiers qui lui demandent de faire des économies, a encore du pain sur la planche dans ce domaine. Lors des trois derniers mois, les dépenses opérationnelles ont augmenté de 8 %, principalement en raison d'une hausse des coûts fixes – salaires et kérosène. La facture de carburant a grimpé de 26 % en un an, en raison d'un rebond des prix du pétrole.