La seconde édition de Value Chain Parts de Lyon a rassemblé un nombre intéressant de spécialistes de la supply chain de la pièce détachée. Ce rendez-vous d’affaires entre «entreprises qui recherchent des compétences en logistique de pièces détachées et celles qui en proposent», comme le résume Lionel Barbé de Premium Contact, semble avoir donné toute satisfaction et l’édition prochaine est déjà programmée pour le 22 novembre 2016.
Hormis les rencontres en BtoB avec les exposants prestataires comme FedEx, XPO Logistics, TCS, UPS, ASIS, GCA Logistique, Gefco, Malherbe ou Sed logistique… plusieurs ateliers ont été organisés. Jean-Michel Hustache de Volkswagen Group France a mis l’accent sur la rationalisation des équipes, la disponibilité immédiate et la capacité à mettre le bon stock chez les concessionnaires (850 points de livraison) depuis le site de Villers-Cotterets, dans l’Aisne. Auparavant, 70 % du chiffre d’affaires étaient réalisés en commandes dépannage et 30 % en commandes de stock. Aujourd’hui, la nouvelle logistique, plus flexible et adaptée, et «qui n’a pas coûté un euro à l’entreprise», permet d’avoir 80 % de commandes de stock et 20 % de commandes de dépannage. 5.700 colis sont expédiés par jour par les camions des Transports Caille, CAT et France Express, pour la région Rhône-Alpes.
Prochaine édition le 22 novembre 2016
Comment fiabiliser les sources d’approvisionnement souvent trop nombreuses pour être bien gérées et qui n’ont pas toujours été sélectionnées selon une véritable stratégie d’achats de pièces de rechange ? Telle était l’une des questions sur lesquelles s’est penchée la société Proconseil. Pour cette société, il faut revaloriser les agences et les remettre en lumière comme sources de profit. La jeune société Ffly4U s’appuie sur de toutes nouvelles technologies liées au monde de l’internet industriel des objets pour développer un service complet permettant d’assurer un suivi de localisation sur site, de température et de mouvement des pièces détachées et des supports de manutention. Le lean management, qui implique tous les opérationnels et doit conduire à l’optimisation de chaque maillon de la chaîne logistique, a composé le cadre de la prestation de Schneider Electric Consulting. L’amélioration de chaque maillon optimise-t-elle forcément l’ensemble de la chaîne ?
L’étude d’UPS «Industrial buying dynamics», ou comment les industriels devront adapter leur modèle pour rester compétitifs, a été réalisée auprès de 719 acheteurs en Allemagne, France, Italie et Royaume-Uni. Elle montre que l’évolution de la conjoncture économique (avec la croissance du e-commerce BtoB notamment) a des répercussions sur le modèle économique traditionnel des distributeurs industriels. D’après l’étude, 65 % des industriels contournent déjà les distributeurs pour effectuer directement leurs achats auprès des fabricants.
Premium Contact organise six événements concernant la supply chain dans ses diverses déclinaisons à Paris, Rennes et Lyon.
Hormis les rencontres en BtoB avec les exposants prestataires comme FedEx, XPO Logistics, TCS, UPS, ASIS, GCA Logistique, Gefco, Malherbe ou Sed logistique… plusieurs ateliers ont été organisés. Jean-Michel Hustache de Volkswagen Group France a mis l’accent sur la rationalisation des équipes, la disponibilité immédiate et la capacité à mettre le bon stock chez les concessionnaires (850 points de livraison) depuis le site de Villers-Cotterets, dans l’Aisne. Auparavant, 70 % du chiffre d’affaires étaient réalisés en commandes dépannage et 30 % en commandes de stock. Aujourd’hui, la nouvelle logistique, plus flexible et adaptée, et «qui n’a pas coûté un euro à l’entreprise», permet d’avoir 80 % de commandes de stock et 20 % de commandes de dépannage. 5.700 colis sont expédiés par jour par les camions des Transports Caille, CAT et France Express, pour la région Rhône-Alpes.
Prochaine édition le 22 novembre 2016
Comment fiabiliser les sources d’approvisionnement souvent trop nombreuses pour être bien gérées et qui n’ont pas toujours été sélectionnées selon une véritable stratégie d’achats de pièces de rechange ? Telle était l’une des questions sur lesquelles s’est penchée la société Proconseil. Pour cette société, il faut revaloriser les agences et les remettre en lumière comme sources de profit. La jeune société Ffly4U s’appuie sur de toutes nouvelles technologies liées au monde de l’internet industriel des objets pour développer un service complet permettant d’assurer un suivi de localisation sur site, de température et de mouvement des pièces détachées et des supports de manutention. Le lean management, qui implique tous les opérationnels et doit conduire à l’optimisation de chaque maillon de la chaîne logistique, a composé le cadre de la prestation de Schneider Electric Consulting. L’amélioration de chaque maillon optimise-t-elle forcément l’ensemble de la chaîne ?
L’étude d’UPS «Industrial buying dynamics», ou comment les industriels devront adapter leur modèle pour rester compétitifs, a été réalisée auprès de 719 acheteurs en Allemagne, France, Italie et Royaume-Uni. Elle montre que l’évolution de la conjoncture économique (avec la croissance du e-commerce BtoB notamment) a des répercussions sur le modèle économique traditionnel des distributeurs industriels. D’après l’étude, 65 % des industriels contournent déjà les distributeurs pour effectuer directement leurs achats auprès des fabricants.
Premium Contact organise six événements concernant la supply chain dans ses diverses déclinaisons à Paris, Rennes et Lyon.
