En 2020, le marché national du véhicule industriel de plus de cinq tonnes s’était contracté de 25 % pour s’établir autour des 42.000 immatriculations. Les prévisions 2021 de l’Observatoire du véhicule industriel tablaient sur une stabilité du marché voire sur une progression de 1 % au mieux en raison des incertitudes liées à la pandémie de la Covid-19. À l’issue des six premiers mois de l’année, ces projections ont été largement contredites. À fin juin, les immatriculations de poids lourds neufs ont progressé de plus de 20 % en France avec près de 23.600 unités vendues.
Selon le Comité des constructeurs français d’automobiles (CCFA), Renault Trucks détiendrait une part de marché de 29 % au premier semestre. La marque a vu ses ventes augmenter de 24 % contre une hausse de 19 % environ pour les autres constructeurs.
Dans ce contexte, l’Observatoire du véhicule industriel a recalculé ses prévisions pour 2021. Il table aujourd’hui sur un marché compris entre 45.000 et 48.000 immatriculations, soit une croissance de 8 à 15 %. Cette évolution serait portée par le dynamisme des tracteurs dont les ventes pourraient se développer de plus de 22 % et se hisser jusqu’à 25.500 unités (23.400 en fourchette basse). Dans le même temps, les immatriculations des porteurs neufs se situeraient au mieux autour des 22.500 unités en hausse de 8 % (21.600 en fourchette basse).
Ciel dégagé pour les utilitaires
Le marché français des utilitaires de moins de cinq tonnes enregistre les mêmes tendances. En 2020, il a connu un repli historique de 16 % avec 402.383 unités vendues. Au premier semestre 2021, ce marché se développe de près de 39 % avec près de 243.000 nouvelles immatriculations. À fin juin, le groupe Stellantis (PSA Peugeot-Citroën, Fiat, Opel…) y détenait une part de marché de 44,2 %. Quant au groupe Renault, sa part s'est alors élevée à 29,5 %.
Selon le Comité des constructeurs français d’automobiles (CCFA), Renault Trucks détiendrait une part de marché de 29 % au premier semestre. La marque a vu ses ventes augmenter de 24 % contre une hausse de 19 % environ pour les autres constructeurs.
Dans ce contexte, l’Observatoire du véhicule industriel a recalculé ses prévisions pour 2021. Il table aujourd’hui sur un marché compris entre 45.000 et 48.000 immatriculations, soit une croissance de 8 à 15 %. Cette évolution serait portée par le dynamisme des tracteurs dont les ventes pourraient se développer de plus de 22 % et se hisser jusqu’à 25.500 unités (23.400 en fourchette basse). Dans le même temps, les immatriculations des porteurs neufs se situeraient au mieux autour des 22.500 unités en hausse de 8 % (21.600 en fourchette basse).
Ciel dégagé pour les utilitaires
Le marché français des utilitaires de moins de cinq tonnes enregistre les mêmes tendances. En 2020, il a connu un repli historique de 16 % avec 402.383 unités vendues. Au premier semestre 2021, ce marché se développe de près de 39 % avec près de 243.000 nouvelles immatriculations. À fin juin, le groupe Stellantis (PSA Peugeot-Citroën, Fiat, Opel…) y détenait une part de marché de 44,2 %. Quant au groupe Renault, sa part s'est alors élevée à 29,5 %.